Suite au topic à l'appartement d'Enrico/partie 3.

*Nous étions le vendredi 13 juillet pour le coup, bien que cette date ne fut pas choisit volontairement Rebecca, Stan et Enrico s'étaient retrouver suite à une soirée des plus remplies et des plus ambitieuses sur le chemin forestier qui menait anciennement au Manoir Spencer.Qu'allait-il y découvrir?Rien que le chemin lui faisait se remémorer les interrogations d'il y à si longtemps.Il fouilla dans sa poche et en ressortie son zippo qu'il montra à Rebecca.*

Enrico - Tu vois c'est celui de Liza Trevor que j'avais dégoter dans le Manoir à l'époque.

*Marini profita de cet arrêt pour vérifié son beretta et son magnum, il avait emporter quelques grenades avec lui et plusieurs lampes torches qu'il distribua.Ils se remirent en marche jusqu'à arrivé devant le monument tant attendu.Enfin monument par le souvenir, les trois quarts de la bâtisse avait été détruit, seul quelque pièce ou mur semblait avoir survécu.*

Enrico - Ce coup ci on ne fera pas l'erreur de se séparer!

*Le groupe continuait d avancer prudemment, l’adrénaline montait au fur et à mesure qu'ils se rapprochait.Le capitaine leva le poing en guise de stop et montra quelque chose au loin.*

Enrico - Vous avez vu la fumée la bas !

*Une fumée de feu ou de cheminer se dirigeait vers le ciel au dessus des ruines du Manoir,bien curieux pour un été...*

INVENTAIRES : beretta, magnum, couteau, grenades,lampe torche et munitions

* Stan et Rebecca étaient arrivés sur place. Ils y retrouvèrent rapidement le capitaine des Bravo, déjà prêt. Rebecca fit de brèves présentations et l'équipe se concentra immédiatement. Rebecca s'approcha d'Enrico qui lui montra un petit objet dans sa main. *

Enrico - Tu vois c'est celui de Liza Trevor que j'avais dégoter dans le Manoir à l'époque.

* Il lui montrait un zippo. La vue de l'objet fit frissonner la jeune STARS. Maintenant qu'elle était sur place, elle se sentait surtout nerveuse. Si hier encore elle s'impatientait de revenir, maintenant qu'elle y était les choses prenaient un aspect bien différent. Elle s'efforça de se concentrer sur l'instant présent pour ne pas aller se noyer dans ses souvenirs. *

- Je ne savais pas que tu avais pu récupérer quelque chose. Quoi qu'il en soit c'est plutôt effrayant. Je n'ai pas croisé Lisa mais ce qu'on m'a raconté à son sujet m'a glacé.

* Stan s'approcha à leur rencontre. Il tenait dans la main un fusil d'assaut type M16 emprunté à sa collection personnelle. Enrico leur donna ensuite à chacun une lampe torche. *

STAN : - C'est la première fois que je viens ici. Rien que l'endroit fou les jetons. Je ne sais pas comment vous avez fait pour ne pas péter les plombs.

* Elle haussa les épaules avec fatalisme. *

- Pas le choix !
STAN : - Oui hé ben je vous tire mon chapeau, j'en connais plus d'un qui se serait fait la malle sans demander son reste...


* Puis le petit groupe se mit en mouvement pour arriver non loin de ce qu'il restait de l'édifice. La vision du squelette laissé à l'abandon avait quelque chose de morbide, de dérangeant. C'était comme si les trois protagonistes avaient ouvert le cercueil d'un mort en décomposition. *
* Alors que son regard fixait toujours les ruines, fascinée, la voix d'Enrico ramena Rebecca à la réalité. *

Enrico - Vous avez vu la fumée la bas !

* Stan releva son arme en avant pour éventuellement couvrir le groupe en cas d'attaque, et Rebecca resserra ses doigts sur la crosse de son M92F *

- Qui peut bien faire du feu ici, un campement ?

* Ils firent rapidement le tour des ruines et arrivèrent à l'origine de la fumée. Comme il s'y attendaient, il n'y avait personne. Probable que les gens à l'origine du feu aient détalé en entendant leur voix. *
* Il s'agissait d'un petit feu de camp réalisé à la hâte avec des feuilles mortes et des pierres. Quelques vêtements et détritus traînaient ici. On avait prit possession des lieux semble-t-il. *

- Des squatteurs ? Ils ne vont pas revenir s'ils nous voient avec nos armes.... On devrait peut-être profiter du moment pour inspecter les ruines ?

* Stan était déjà en train de farfouiller les feuilles mortes un peu plus loin avec son pied, le M16 en bandoulière. Pour peu on les aurait cru en pleine chasse aux champignons. *
* Mais c'était avant que Stan trouve quelque chose. *

STAN : - Hé venez-voir! Regardez ce que j'ai trouvé !

* L'agent était au milieu d'un tas de ruine informe. Il s'agenouillat et prit son fusil en main pour pousser quelque chose du bout de la crosse. *

STAN : - Ca ne me dit rien de bon tout ça...

* Rebecca arriva à ses côtés et mit sa main sur sa bouche lorsqu'elle vit ce dont il s'agissait. *
* Stan venait de trouver sous les feuilles un morceau de bras humain. Inquiète, rebecca fit une rapide analyse à voix haute. *

- La main est encore visible, avec tous les doigts. Le bras a semble-t-il été arraché au milieu de l'humérus, avant l'épaule. On distingue un morceau d'os brisé à la base. Les articulations tiennent encore et le bras est dénudé. L'état de la peau indique une décomposition avancée. Il faudrait examiner de plus près pour détermier s'il y a des lésions cutanées.

* La STARS se releva, le visage grave, et parla à ses 2 compagnons tout en restant fixée sur le morceau de bras, une main sur la hanche. *

- De deux choses l'une : soit nous avons raison sur notre hypothèse et il se passe des choses inquiétantes ici que nous devons élucider. Soit nous avons devant nous la victime d'un potentiel meurtre indépendant de notre affaire et quoi qu'il en soit... on ne sait pas à qui appartient ce bras.

* La nervosité au sein du groupe venait de monter d'un cran. *

INVENTAIRE REBECCA : M92F - quelques chargeurs - Trousse de soin et kit e premiers secours. - Lampe torche
INVENTAIRE STAN : M16 - Couteau de combat - Chargeurs - lampe torche

hj : désolé pour le petit pavé mais il y avait beaucoup de choses à dire. J'espère que je ne t'ai pas cassé ton plan pour le feu ? Parce que je n'avais pas trop d'idée j'avoue, je ne visualisais pas très bien la scène... :s

*Le trio se r'approcha prudemment de la fumée, pour y parvenir ils avaient du faire une bonne moitié du périmètre de la bâtisse.*

Reb - Des squatteurs ? Ils ne vont pas revenir s'ils nous voient avec nos armes.... On devrait peut-être profiter du moment pour inspecter les ruines ?

*Le feu fumait encore abondamment bien que les flammes ne se présentaient plus.Les personnes avaient probablement fuit voyant des hommes armés.Enrico rangea son arme.*

Si des types arrivent à se chauffer ou se faire à manger ici, c'est qu'il ne doit être si dangereux que ça cet endroit.

*L'homme misa partiellement plus sur le fait que ses deux coéquipiers soient armés que sur sa théorie pour ainsi se promener les mains vides.Stan venait de trouver un bras déjà bien entamé et Rebecca fit son autopsie à voix haute. L’infirmière paraissait sacrement doué dans ce domaine.*

Reb - De deux choses l'une : soit nous avons raison sur notre hypothèse et il se passe des choses inquiétantes ici que nous devons élucider. Soit nous avons devant nous la victime d'un potentiel meurtre indépendant de notre affaire et quoi qu'il en soit... on ne sait pas à qui appartient ce bras.

*Un bruit extérieur à la scène attira les oreilles de Marini qui s'empara de son arme immédiatement visant les branchages mouvementés.Le type déplanqué n'hésita finalement pas à sortir, il boitait, ses fringues étaient sales, sa barbe se faisait aussi longue que ses cheuveux, il s'avanca vers le groupe suivit de sa probable compagne tout autant crade aussi bien de visage que de vetements.*

Homme - Pour 20$ je peux vous dire ce qu'il c'est passé...

Femme[prétentieuse] - Ouai nous on sait !*dit-elle fièrement.*

Enrico - Nous sommes de la police, vous devez nous dire ce que vous savez.

*La blonde agitât son index de gauche à droite, le policier du se résoudre à sortir 20$ et lui tendit.*

Homme - Ce sont ces types avec les combinaisons d'astronaute...Ils nous troquaient 20$ contre une piqûre teste par jour, tout ça pendant deux mois .Charles était le 1er à essayer, mais au bout d'une semaine, ça le démangeait alors il se grattait sans cesse les articulations...Jusqu'au quinzième jours où il se cassa de lui même son épaule complètement rongée.

Femme - Il y avait même des fois où il se grattait contre les écorces des arbres le dos nus...Au bout de trois semaines il était devenu comme fou, c'est la qu'il s'est arraché le bras, alors nous avons du...

Homme - Non !! Ne leurs dit pas !!

*Marini avait deviné la suite, alors il enchaîna:*

Enrico - Ça fait combien de temps que vous avez commencé vous les piqûres vous ?

Femme - Ca fait un mois, mais au départ il nous piquait avec les bleus et quand Charles à attrapé ses cloques ils ont continué sur nous avec les piqures vertes!*Dit elle en se grattant les cheveux comme une tarrée.*

* Rebecca écoutait, attérrée, le discours des deux inconnus surgit des fourrés. Elle ne parvenait pas à détacher son regard d'eux, les jaugeant du regard. *
Il est clair que ceux-là ne sont pas très clair, on aura intérêt à surveiller nos arrières avant qu'ils nous plantent leur mâchoire dans le derrière...
* Elle se mordit la lèvre et laissa son capitaine terminer l'interrogatoire. Les deux sans abris paraissaient satisfait, certainement plus par la petite monnaie qu'ils avaient glané que pour les informations qu'ils venaient de révéler. Rebecca fit alors un pas vers eux. Doucement, pour ne pas les brusquer et les faire se recroqueviller dans leur coquille. *

- Et est-ce que vous savez d'où viennent ces hommes en "combinaison d'astronautes" ?

* La femme la dévisagea un moment. Rebecca cru qu'elle allait l'insulter pour avoir posé la question, mais elle n'en fit rien. Ce fut l'homme qui lui répondit en se grattant la joue. *

HOMME : - Ca si vous tenez vraiment à le savoir, ce sera 20$ de plus.

* Rebecca ne pu s'empêcher de froncer les sourcils en plantant son regard dans celui, terne, du malheureux. *

HOMME : - Ben ouais dans la vie rien n'est gratuit, pi vous savez hein, c'est la crise, la vie est cher et on n'a rien sans rien.

* L'infirmière eut un soupir ponctué d'un mouvement d'épaules qui s'affaissent. *

- Bon. Ok. Si je vous donne 30$ vous me dites d'où viennent ces hommes et vous nous y conduisez ?

* La jeune femme était persuadée que les hommes venaient de quelque part dans le coin. Si proche des ruines du manoir, il ne pouvait en être autrement. La coïncidence serait trop grosse. *

FEMME : - Non ne leur dit pas sinon.... !
HOMME : - Sinon quoi Karen ? 30$ elle a dit. Réfléchi un peu avant de parler. Tourne ta langue dans ta bouche. Pff

* Rebecca les regarda se disputer sans intervenir, cela était bon pour les affaires des 3 agents. *

* Monnayant 30$ le couple indiqua finalement les ruines, mais insistèrent sur le faite qu'ils n'accompagneraient pas le trio.*

Enrico - Vers quelle heures passent t ils faire votre piqûre journalière ?Sont ils armés ?

Karen - À midi , tout les jours les deux types viennent.Un vient avec le matériel médicale et l'autre est armé.

*Enrico n'avait pas envie d'attendre trois heures que les types se pointent.Il fit se rapprocher les deux autres agents et leurs expliqua le plan qu'il avait prévu. Stan allait rester ici camouflé dans les fougères pour cueillir les deux types.Reb et Enrico allait explorer les ruines.Le capitaine sortie 3 petites oreillette radios, qu'il leurs confit à chacun afin de rester en contact.Stan avait pour consigne de ne pas hésiter à abattre les deux cosmonautes si ceux ci devait porter atteinte à sa vie.Puis il conclu :*

Enrico[voix basse] - Stan, tu feras comme si tu repartais au véhicule pour revenir ensuite te caché, les deux SDF ne doivent pas savoir que l'on va cueillir leurs poules aux oeufs d'or!Des Questions ?

*Apres les explications Marini se retourna vers le couple expliquant que trois agents ne servait à rien ici et que deux d'entre eux allaient jeter un oeil aux ruines avant de rentrer aux commissariat.Et pour être "sûr" qu'il ne divulguerait pas leur venu il sortit son dernier billet de 50$ et leurs tendit.*

Enrico - Ben vous savez quoi, vous avez gagné plus que moi aujourd'hui.Alors n'oubliez pas! Pas un mot !

*Stan s’éloigna comme prévu en direction du chemin qu'ils avaient pris pour arriver jusqu'ici et bifurqua sur sa gauche.Rebecca et Enrico se dirigèrent au coeur ds ruine vers les murs qui avait encore de la hauteur, au bout de quelque minutes l'oreillette crépita.*

Stan[radio] - Bravo 3 en position,terminé.

INVENTAIRES : beretta, magnum, couteau, grenades,lampe torche et munitions

* La discussion se poursuivit entre les sans abris et le capitaine des bravos. Un marché fut conclu et les agents s'éloignèrent. Enrico exposa alors son plan et la marche à suivre : *

ENRICO : - Stan, tu feras comme si tu repartais au véhicule pour revenir ensuite te caché, les deux SDF ne doivent pas savoir que l'on va cueillir leurs poules aux oeufs d'or!Des Questions ?

* Stan et Rebecca secouèrent la tête simultanément pour montrer qu'il n'y avait pas de question. Ensuite les deux STARS se séparèrent de l'agent RPD qui suivi les consignes à la lettre. Quand il fut en place, il n'y avait plus que les agents du STARS sur le théâtre de l'explosion de 1998. Le vent faisait frémir les feuilles sur les arbres et quelques grincement de bois sec donnaient au lieu un air sinistre. Rebecca lançait son regard partout, les sens en alerte. *

- Je n'arrive pas à me défaire du mauvais préssentiment qui me noue la gorge. Est-ce l'angoisse du présent ou la peur du passé ?

* Elle n'osait pas parler trop fort de peur d'éveiller une quelconque créature. Autour d'eux, les ruines paraissaient tout à fait normales. De l'herbe et des fleurs avaient poussé entre les pierres, et plusieurs restes de squat traînaient ça et là dans un désordre sans nom. Il ne restait rien de vraiment identifiable a part des gravats. *
* Les agents se promenèrent ainsi plusieurs minutes quand soudain, Rebecca remarqua quelque chose qui ne collait pas dans le paysage. Il y avait au bout de sa vision comme un trou dans le tas de ruines. On aurait dit qu'il n'y avait plus rien au sol à quelques mètres de là. *
* Elle fronça les sourcils et s'approcha. *
* Elle découvrit qu'en effet, un endroit d'environ 1mètre sur 1,5 mètre avait été nettoyé pour laisser voir ce qui ressemblait à une trappe de béton armé un peu trop propre pour être d'époque. On pouvait voir d'un simple coup d'oeil que la trappe pesait lourd. Quoi que cela puisse être, ce n'était pas normal et c'était forcément postérieur à l'explosion du manoir. *

- Enrico ?

* Elle appela à mi-voix son capitaine, parti observer un peu plus loin. Il ne l'entendit pas du premier coup. *

- Enrico !

* Comme l'homme ne l'entendait toujours pas, elle fit des gestes avec ses bras pour attirer son attention avant de revenir peu à peu vers lui. Il finit par la remarquer. Elle arriva à sa hauteur. *

- Je crois que j'ai trouvé quelque chose là-bas.

* Elle le ramena sur place et lui indiqua d'un geste de la main l'imposant bloc de béton parfaitement enterré. *

- A ton avis qu'est-ce que c'est ? Tu crois qu'il y en a d'autres ?



INVENTAIRE REBECCA : M92F - quelques chargeurs - Trousse de soin et kit de premiers secours. - Lampe torche
INVENTAIRE STAN : M16 - Couteau de combat - Chargeurs - lampe torche

*Le binôme c'était séparé pour explorer le dessus des ruines et trouver d'éventuels indices, la superficie du Manoir était bien grande et la moitié etait accessible pour des recherches, après quelques minutes toujours rien de notable n'était venu alerter le capitaine, si ce n'est :*

Rebecca - Je crois que j'ai trouvé quelque chose là-bas.

* L’infirmière semblait avoir trouver quelque chose d’intéressant, Enrico la vit accourir dans sa direction.L'homme se retourna et tapota son oreille droite de son index.*

Enrico - N'oublies pas que tu as le kit radio à travers l'oreillette.Qu'est ce que tu as trouvé ?

*C'est vrai que dans la fin des année 90 l'oreillette n'était pas de rigueur chez les STARS et à part ses deux grosses missions qu'elle lui avait compté à son appartement l'agent Chambers ne semblait pas avoir fait beaucoup de terrain...Du moins officiellement ou a ce qu'il savait.Il s'approcha du bloc de béton qu'elle venait de lui indiquer, une trappe ornait le centre de la trouvaille.*

Rebecca - À ton avis qu'est-ce que c'est ? Tu crois qu'il y en a d'autres ?

Enrico - Je ne vois que deux possibilités : Soit une trappe d’accès ? soit une genre de prison ?Il n'y à qu'un moyen de le savoir.

*L'ambidextre se saisit de la poignet métallique de la trappe à l'aide de sa main droite et pointant la futur ouverture à l'aide de son magnum tenu de son autre main.Il regarda Rebecca pour lui donner le signale et tira de toute ses forces sur l'ouverture.*

Bon sang...

*La porte métallique de 70cm de coté ne s'était soulevée que de quelques centimètres, Enrico la reposa doucement et tendit son magnum à la jeune femme, celle ci allait devoir le couvrir.Le quinquagénaire s'employa des deux mains pour pouvoir dégager la voie de ce demi mètres carré de métal imposant.Marini récupéra son arme puis à l'aide de sa lampe torche éclaira le trou qui ne fut en réalité pas plus profond que quatre mètres.Une échelle s'offrait à eux, Enrico fit signe à la jeune femme de l'attendre, il positionna sa torche entre ses dents et sautillant avec sa main droite de barreau en barreau se couvrait le passage de sa main gauche armé du 357.Arrivé en bas c'était le calme plat, une pièce de deux mètres sur quatre vides et silencieuse l'attendait.L'inventaire ne fut pas long à faire, il repéra deux herbes vertes et deux herbes bleus, ainsi qu' une porte d’ascenseur qui semblait alimenté.Sa led jaune lui en donna la conviction.Le capitaine appela l’infirmière pour examiner les plantes, Marini n'était pas expert il s'avait utiliser les herbes vertes, mais de la à les combiner, c'était une toutes autre histoire.

Enrico - Ce sont bien des plantes régénératrices ? Tu peux les combiner ?*Puis lui montra la porte de l’ascenseur.*Regardes !

*La jeune femme examina à son tour les environs du trou, Enrico remarque que le plafond avoisinait les trois mètres, ce qui devait donner au bunker, une épaisseur d'environ un mètre.Ce qui n'était pas négligeable.*

Enrico - Maintenant il est évident que quelque chose se trame par ici, on va pas pouvoir continuer la mission ainsi.Je vais contacter du renfort et officialiser la mission.Nous avons suffisamment de preuve.Je ne souhaites pas prendre plus de risque.

*Enrico sortit son portable et s'apercevant qu'il n'y avait pas de réseau dans ce trou il se dirigeât vers l’échelle et agrippa le premier barreau.La lourde trappe retomba sur le trou de lumière laissant un bruit indescriptible et assommant leurs détruire les tympans pour les cinq minutes suivantes...Enrico cria et escaladant l’échelle, de sa main libre puis de son épaule il essaya de soulever la porte mais rien à faire.C'est à sa grande surprise qu'il aperçu un vérin de sécurité qui s'était mis en place verrouillant ainsi la porte de l’intérieur, ce genre de vérin pouvait émettre jusqu'à plusieurs bar de pression, il était donc impossible de luter face à lui.Le vétéran essaya une dernière tentative à l'aide son couteau, il tenta de sectionner les tuyaux d'alimentations du vérin, mais ceux ci se confirmaient être en métal et rien ne changea malgré les efforts du policier qui redescendit.Il pressa le poussoir de son oreillette pour contacter Stan, mais rien d'autre que le néant ne lui répondit, Ils étaient pris au piège, toutes les communications vers l’extérieur étaient coupé à cause de l'imposante masse de béton.Le renforts ne viendrait pas ils étaient seuls,ils ne leurs restaient qu'une seule issue...*

* Enrico décida d'aller voir par lui-même. Elle l'aida à soulever la lourde trappe puis jeta un regard inquiet vers le trou sombre qui avait avalé son capitaine. *
* Le stars trouva rapidement des plantes et lui demanda d'aller voir, ce qu'elle fit sans attendre. Une fois en bas, elle prit quelques secondes le temps de s'habituer à l'obscurité. Elle regarda les plantes de plus près. Il y avait une plante verte basique ainsi qu'une sorte de sauge, plus bleue. *

- On peut s'en servir pour contrer certaines formes de poison. Je vais prendre l'essentiel et le garder avec moi. J'espère que nous n'en aurons pas besoin mais on ne sait jamais...

* Elle arracha les feuilles et les fourra dans son kit de soin. Mais alors qu'elle était occupée, un grondement sourd la fit sursauter. Son coeur s'emballa. La trappe venait de se refermer sur eux et vu comme Enrico s'acharnait, elle avait été verrouillée. Aussitôt, Rebecca promena sa lumière sur les murs. L'angoisse lui étranglait la gorge et sa voix était étrange. *

- Si c'est verrouillé c'est qu'on nous observe quelque part...

* Elle se força à faire e vide dans sa tête pour se calmer. Il restait toujours l'ascenseur. Mais pour allez où si ce n'est tout droit dans la gueule du loup ? *
* Les deux stars n'avaient pas le choix et Rebecca pressa le bouton d'appel avec une forte appréhension. L'engin arriva quelques secondes après et s'ouvrit dans un tintement calme. Cela contrastait avec l'endroit. L'interieur de l’ascenseur était clair, tout en taule. On n'avait manifestement pas fait son entretien depuis longtemps. Il n'y avait que 2 boutons. Un bouton 0 et un -1. Comme ils étaient au 0, il n'y avait pas le choix. *
* En bas, l'engin s'ouvrit sur une sorte de croisement. 3 conduits se tenaient devant eux. Il faisait très humide, de la moisissure verte dégoulinait des murs. Rebecca eut l'impression d'être dans les tunnels d'un chateau fort. Elle fronça les sourcils et balaya les lieux de sa torche. Ils étaient dans le noir. Mais à peine furent-ils sorti de l'appareil que des appliques aux murs s'allumèrent, alertés par leur présence. *

- Mince....

* Elle voulu contacter Stan à l'extérieur mais il n'y avait toujours pas de fréquence. Ils étaient coincés. Leur objectif principal semblait clair : sortir d'ici pour aller chercher du renfort comme l'avait suggéré Enrico. *

- Par où on commence ?

* Elle se mordit la lèvre, aucun des trois chemins ne la rassurait. *

INVENTAIRE REBECCA : M92F - quelques chargeurs - Trousse de soin et kit de premiers secours. - Lampe torche
INVENTAIRE STAN : M16 - Couteau de combat - Chargeurs - lampe torche

*Avec l'ouverture de la porte de l'ascenseur, qui les emmenèrent à l'unique étage négatif des sous terrains, les lumières se mirent en fonction, trois tunnels identiques s'ouvraient à eux.*

Reb - Par où on commence ?

*Enrico visionna les trois possibilités et curieusement l'une d'entre elle aboutissait sur un cul-de-sac, cette troisième voie était moins profonde que les deux autres, effectivement on arrivait à voir son bout.Marini fit signe à Chambers de rester là l'oeil ouvert le temps qu'il explore ce court tunnel qui l'intriguait, visiblement sans issue. Apres une bonne dizaine de mètres, il en eut la confirmation, rien de notable! Un tunnel laissé à l'abandon ??*

Mais pourquoi diable l'ont-ils creusés...??

*Enrico retourna les talons sentant des tremblement dans son dos ainsi que le sol légèrement vibrer...Le mur sphérique qui terminait le tunnel s’avérait être une énorme boule qui se mis à rouler avec la pente en direction du capitaine des Bravos.L'homme ne demanda pas son reste et se mit à détaler du plus vite qu'il pu se réfugiant dans l'un des deux autres tunnels.La boule imposante venait de s’écraser sur l’ascenseur, rendant ainsi celui ci inutilisable et bouchant par la même occasion le tunnel par le quelle elle venait d'arriver.Rebecca ne semblait pas être touché et Marini avait eut chaud pour le coup.Deux possibilités s'offrait à eux à présent...Non, en fait trois selon le quinquagénaire...*

Enrico - Soit on prends chacun un tunnel en restant en contact radio, soit on ne se sépare pas.Dis moi ce que tu préfèrent et mettons nous en route.

*Enrico avait l'habitude de se retrouver seul dans se genre de situation, mais était ce le cas de son accompagnatrice ?De plus pouvaient ils vraiment se séparer dans un tel endroit ?Il était évident que la séparation leurs permettrait de trouver la sortie deux fois plus rapidement, mais à quel prix ?Le capitaine laissa la STARS décidé, ce s'entait-elle capable de poursuivre seule de son coté ?Ou préférerait elle rester grouper ?...*

hj : Je voyais la même chose que toi concernant l'ascenceur

dj :

* Enrico commença à inspecter un tunnel tandis que Rebecca restait sur place, surveillant le lieu au cas où quelque chose d'hostile aurait surgit d'un tunnel. La jeune STARS avait l'horrible qu'on les surveillait depuis leur descente par la trappe. Elle en frissonna. *
* Soudain, un grondement fit trembler les murs et un bruit de roulement se fit entendre. Le sang de Rebecca ne fit qu'un tour. *

- Enrico !

* Mais il surgissait déjà du tunnel où il s'était engagé, poursuivit par une masse de pierre rugissante. Elle n'eut que le temps de reculer et se protéger le visage de ses bras. L'énorme cailloux alla s'encastrer dans le mur près de l’ascenseur, rendant ce dernier quasiment inaccessible. La situation ne faisait qu'empirer. Heureusement aucun des deux agents ne se blessa. *

ENRICO : - Soit on prends chacun un tunnel en restant en contact radio, soit on ne se sépare pas.Dis moi ce que tu préfèrent et mettons nous en route.

* Rebecca réfléchi quelques instants. Il était clair qu'ils iraient plus vite en se séparant et leur but n'était pas de passer du temps à explorer les lieux. Ils pourraient le faire plus tard. Et puis elle ne voulait pas passer pour une faible. *
* La jeune femme prit une inspiration et se tint plus droite pour annoncer. *

- Je prends le gauche, tu pars au milieu. La liaison talkie-walkie de nos radios nous aidera à garder le contact. J'essaierai de contacter Stan si je le peux. Bonne chance !

* Elle ne s'attarda pas et tourna les talons pour s'engager dans le tunnel de gauche. Comme les autres, il était suintant d'humidité et de moisissures. La jeune femme rangea sa lampe torche et dégaina son revolver par prudence. Elle marchait lentement, attentive au moindre bruit, et continuait d'observer les murs et le plafond à la recherche d'un système de surveillance qui trahirait la présence d'autres individus plus loin. *
* Mais elle ne vit rien et sa marche fut rapidement interrompue par une vieille porte en métal digne d'un sous-marin. Elle semblait épaisse, faite dans un métal usé et des tenue par des rivets larges et rond. Elle ne pouvait manifestement pas aller plus loin. *
Mince....
* Après une inspection minutieuse, elle découvrit sur le côté contre le mur un petit boitier destiné probablement à ouvrir le passage. Le boitier était fixé à hauteur d'homme et possédait un renfoncement en son centre. *
* Il s'agissait d'un mécanisme ancien. Rebecca saisit sa radio pour se brancher sur la fréquence talkie-walkie de son capitaine. *

- Enrico, je me trouve actuellement face à une porte. J'ignore ce qu'il y a derrière mais je ne peux pas aller plus loin. D'après mes observation, un objet à bout carré permettrait certainement d'utiliser le mécanisme permettant de l'ouvrir. Je pense à quelque chose comme une manivelle. Est-ce que tu vois quelque chose de ton côté ? Terminé.

* Elle éteins sa radio et attendit une réponse. *

*La jeune STARS opta pour la séparation, Enrico lui demanda l'herbe verte au cas ou il lui arriverait quelque chose,Il testa la communication entre Bravo 1 et Bravo 2, tout fonctionnait pour le duo.Il avança dans le couloir du milieu.Au fur et à mesure qu'il s’enfonçait le corridor lui remémorait des souvenirs, les murs suintaient et la mousse s'y était installée.Le malaise et les goûtes de sueur l'envahissaient, arrivé au milieu du tunnel il s’arrêta reposant une main sur le mur.*

Je dois m'y remettre !

*Arrivé enfin au bout une porte rouillé l'attendait,à part les lampes électriques rien d'autre ne longeait les murs, ni caméras ni interrupteurs ni quoi ce soit d'autre fabriqué par l'homme.Il pointa la porte avec son beretta et l'ouvrit.Une pièce cubique pas très grande redonnait accès à deux autres portes une en face et l'autre sur la droite.Il prit celle de droite.Fermé! En examinant la serrure on pouvait voir une gravure d'un doberman juste au dessus.Il se dirigea donc dans la pièce qui lui faisait face au paravent.Lorsqu'il pénétra dans celle si son pied vient l’éclabousser, en effet bon nombre de flacs d'eau jonchait le sol, au même moment sa radio lui laissa entendre la voix de Rebecca.*

Merde, des serpents...

Rebecca[radio] - Enrico, je me trouve actuellement face à une porte. J'ignore ce qu'il y a derrière mais je ne peux pas aller plus loin. D'après mes observation, un objet à bout carré permettrait certainement d'utiliser le mécanisme permettant de l'ouvrir. Je pense à quelque chose comme une manivelle. Est-ce que tu vois quelque chose de ton côté ? Terminé.

*La situation ne lui permettait pas répondre immédiatement il commença à faire feux sur les reptiles puis il compris vite qu' à cette allure là les munitions allaient lui manquer si il devait en croiser d'autre.Il abandonna l'idée du pistolet pour celui du couteau de combat.La force de ses coups d'écrasements du pied se firent tout aussi utile.Une fois les six lézard rampent anéantit il pressa le commutateur de sa radio,la jeune femme avait probablement entendu les coups de feux.*

Enrico[radio] - Tout va bien! Je n'ai pas de manivelle pour l'instant, mais j'ai trouver une porte verrouillé, là clef semblerait être orné d'un doberman.Argg...Merde j'ai du éliminer des serpents!*regardant son avant bras gauche*Visiblement l'un d'eux m'a mordu, mon bras me fait mal.

*Le capitaine s'assit par terre le dos contre un mur, la pièce était un cul de sac et divers étagères quelque peu remplies reposaient sur l'épaisse cloison.Le capitaine remarqua un petit orifice dans l'un des murs.*

Les serpents se sont sans doutes introduits par là.

*Quelque chose de brillant enfoncé dans la cavité attira son attention, il se précipita à quatre pattes n'ayant plus assez de force pour se relever.Il éclaira l'orifice, un clef s'offrait à lui et lorsqu’il essaya de la prendre il se rendit compte que sa main épaisse et masculine ne pouvait accomplir son désir.Il fallait attendre Rebecca...*

INVENTAIRES : beretta, magnum, couteau, grenades, lampe torche, une herbe verte et munitions
CARTES/ACCES : manque une clefs "doberman" et une manivelle à embout carrée.

* Rebecca attendit dans le tunnel quelques instants qu'Enrico réponde. Elle bougeait de temps à autres pour empêcher la lumière de s'éteindre. *
* Elle entendit du bruit au loin, mais le son était si étouffé qu'elle n'arrivait pas à le localiser ni même à analyser précisément de quoi il s'agissait. Son coeur accéléra la cadence comme elle pensait à son capitaine perdu dans le labyrinthe de pierre. *

Enrico[radio] - Tout va bien! Je n'ai pas de manivelle pour l'instant, mais j'ai trouver une porte verrouillé, là clef semblerait être orné d'un doberman.Argg...Merde j'ai du éliminer des serpents! Visiblement l'un d'eux m'a mordu, mon bras me fait mal.

* Les yeux de l'infirmière s'agrandirent sous l'effet de surprise. Elle laissa passer quelques secondes le temps d'assimiler l'information. *
Mince, s'il est mordu il est infecté....
* Elle rappuya sur le bouton de la radio et répondit. *

- Ok ne bouge pas, j'arrive !

* Et elle raccrocha. Enrico ne serait pas très difficile à trouver. Elle revint sur ses pas sans encombre et s'engagea dans le tunnel du milieu. Le décor changea peu à peu et elle arriva dans la pièce où se trouvait Enrico. Arrivée à sa hauteur, elle vit son capitaine au sol. La sueur faisait briller son front et il tremblait. Elle s'agenouilla. Cela lui rappelait l'horrible nuit où elle avait sauvé Richard. *

- Ce n'est rien j'ai ce qu'il faut. Quelle chance d'avoir trouvé cette herbe ! Je fais vite pour la préparer.

* Elle sorti de sa trousse de secours les feuilles de la plante qu'elle avait pris un peu plus tôt et entrepris quelques opérations avec son kit. *



* Une fois fini, elle tendit plusieurs feuilles bleues et grasses roulées comme des cigarettes à son capitaine. *

- Mange cela en mastiquant bien pour faire sortir le jus. Cela devrait stopper la progression du poison. Ton corps devra encore l'éliminer et il faudra te rendre à l'hopital dès que nous serons sorti d'ici.

* Il devenait de plus en plus urgent de sortir. Rebecca se redressa. *

- Voyons voir, tu as parlé d'une clé avec un chien... Je n'aime pas ça du tout ce symbole n'est pas très encourageant...

* Elle promena son regard alentour et fini par voir près d'Enrico l'orifice dans lequel se trouvait la clé. Elle s'en saisit. Heureusement pour eux rien ne se passa. Du moins dans les alentours. Rebecca se méfiait de ce genre de piège à retardement. *
* Elle attendit que son capitaine soit sur pieds pour aller insérer la clé dans la serrure toute proche et pousser la porte. A peine ouverte, Rebecca reçu en plein visage une masse noire et informe. La jeune femme tomba à la renverse en poussant un cri. Deux énormes chiens baveux venaient de la pousser pour se jeter dans la pièce. *

* L’infirmière arriva et s’attela à sa tache, du temps que le capitaine mâchonnait le feuillage bleu raffinement préparé, l'agent Chambers s'empara de la clef et Marini fit un tour de tête pour visionner le contenu des étagères mais rien d'autre que du matériel électrique, tel que du câble ou des ballastes ne reposaient ici.Il sagissait là des même luminaires qui éclairaient les galeries.Le capitaine s'enfila par même occasion l'herbe verte qu'il procédait, il lorsqu'il fut d'appoint il se dirigèrent vers la porte verrouillée que Rebecca ouvrit.Un cerbère vint percuter la brune, puis un second fit son apparition, Enrico tira sur le second avant de venir percuter le crane du premier d'un violent coup de pied.Le chien noir se tenait au dessus de son amie, avant de voler contre la porte ouverte, de sa seconde mains le STARS empoigna son magnum et abattit le second d'une balle de 357 en plein torse.Le premier cerbère se releva et Marini le finit à l'aide de son beretta par coup alterné.Son bras droit encore tendu vers l'ouverture de la porte, il tendit sa main gauche pour aider la jeune femme à se relever.*

Enrico - Ça va rien de cassé ?

*Enrico pénétra le premier dans la pièce son m92f bien en main il sagissait là d'une salle des machines avec plusieurs turbines, celle ci fournissait de l'électricité pour le complexe souterrain.*

C'est quand même curieux aucun panneau solaire ni éolienne ne surplombe les ruines !! Par quelle énergie ses ruines sont-elles alimentées ?

*L'ancienne porte verrouillée était de nature épaisse, d'où l'isolement phonique que le vétéran n'avait perçu pu percevoir jusqu'ici.Les turbines semblaient neuves. Seule une double porte métallique de couleur rouge pâle leurs offrait une possibilité nouvelle d'exploration.

Enrico - Tu as trouvé quelque choses d'intéressant ici ?

Rebecca - ......................

Enrico - Daccord, allons juste jeter un oeil la bas derrière.*Lui montrant la double porte bordeaux.*

*Arme au poing, ils passèrent la double ouverture une grande plateforme rectangulaire sous forme de grille épaisse se tenait sous leurs pieds, des barrières de sécurités archaïque en assurait le périmètre.Enrico avança en son bord et aperçu un courant d'eau passant en dessous de celle ci!*

C'est donc avec le courant de cette rivière qu'ils alimentent le bâtiment en électricité.

*Rien d'autre ne surplombait les environs, mis a part une échelle prévus pour la maintenance qui finissait sa course dans la flotte.Des grilles situées en amont et en avale de du courant d'eau sécurisait les lieux pour éviter à quiconque de pénétrer par la rivière.Il était donc impossible pour eux de se faire la mâle par la voie des eaux.*

Enrico - À moins que tu ne veuilles te baigner faisons demi tour.

*Ce que craignait voir le capitaine depuis un moment se tenait là devant lui demi homme demi crapaud, le hunter se présenta en silence et manifesta son bras droit avec force et vigueur pour venir frôler le visage de Marini qui esquiva de justesse...*

Spoiler:

INVENTAIRES : beretta, magnum, couteau, grenades, lampe torche, herbe verte et munitions
CARTES/ACCES : manque une clefs "doberman" et une manivelle à embout carrée ?

* L'attaque fut surprenante mais heureusement sans gravité. Enrico vint à bout des deux chiens avec la rapidité de son expérience. Rebecca se releva. Elle garderait une bosse derrière la tête mais rien d'handicapant ou de grave. Elle avait connu pire. *
* Après s'être assuré que tout allait bien, les deux agents s'engagèrent dans le passage nouvellement ouvert et débouchèrent sur des égouts sales et mal entretenus comme le reste des souterrains. *
* Enrico n'était pas emballé et Rebecca était déçue également. Après tout elle avait espéré autre chose de plus prometteur derrière cette porte, mais il semble que les chiens gardaient juste ce passage pour une raison que seuls leurs maîtres connaissaient. *
* Alors qu'ils allaient rebrousser chemin, un Hunter massif et visqueux surgit de l'eau sale et atterrit devant eux. *

- Wow !

* La créature manqua de mettre un coup dans la tête d'Enrico, puis s'avança ensuite vers Rebecca. *

- Mince !

* Elle visa la tête du monstre avec son arme de poing, dérisoire protection contre un Hunter. *
* Une balle, puis une seconde, une troisième. La créature ne paraissait pas sentir les projectiles qui allaient se loger dans sa gueule. Soudain, la bête sauta en direction de la jeune Stars. Rebecca roula sur le côté, se releva et braqua de nouveau. *

- Faut partir d'ici, on verrouille la porte et on voit ce qui se passe je n'aurais pas assez de munitions s'il y en a d'autres et c'est Stan qui a le pistolet mitrailleur !

* Avec sa roulade, Rebecca et Enrico se trouvaient à présent dos à la porte par où ils étaient venus. Un sprint leur permettrait d'arriver dans la pièce aux serpents et un peu d'agilité les aiderait à fermer la porte. Avec un peu de chance la créature ne serait pas assez rapide pour leur barrer le passage. *
* Alors que le Hunter prenait appuis sur ses genoux afin de se mettre en position pour un nouveau saut, Rebecca eut une idée. Elle abaissa le canon de son arme et visa le genoux. Elle tira pile au moment où le Hunter, baissé, allait se redresser dans un saut. La balle traversa le genou du monstre, faisant voler des éclats d'os et de chair. La créature hurla et sa jambe se déroba sous elle. C'était le moment ! *
* Rebecca profita de ces quelques secondes de répit pour tourner les talons et détaler dans la première pièce. Enrico la suivait. Mais aurait-il assez de temps pour verrouiller la porte ? *
Je n'en reviens pas d'avoir visé aussi juste, mais j'étais vraiment près.....


INVENTAIRE REBECCA : M92F - quelques chargeurs - Trousse de soin et kit de premiers secours. - Lampe torche
INVENTAIRE STAN : M16 - Couteau de combat - Chargeurs - lampe torche

*Apres avoir loupé le moustachu le hunter s'attaqua à sa partenaire,qui s'en sortie à l'aide de son agilité.Elle proposa judicieusement la fuite et l'homme la suivit.Le monstre n'avait pas dit son dernier mot et Rebecca surprit le capitaine d'un tire stratégique et précis, qui venait d’annoncer leurs fuites couvertes jusqu'à la porte verrouillable.Une fois de l'autre coté le moustachu s'empressa de reverrouilée la porte hermétique, les séparant ainsi des dangers provenant de la rivière.*

Enrico - Jolie tire tu t'es bien amélioré .Cet endroit me rappelle amèrement celui où Wesker a tenté de m'assassiner.Mais ce coup ci il n'est pas là, je ne suis pas au bord de la mort, mais nous n'avons pas la manivelle qu'il avait laisser à l'époque^^.

*Toutes les pièces avaient été fouillées et aucune manivelle,enfin fouillé... plutôt rapidement.Pris au piège le duo se trouvait vraiment dans une situation inconfortable.*

Enrico - Écoutes, elle doit bien être quelque part cette manivelle! Trouvons là !

*Marini retourna dans la pièce avec les étagères là où les serpents l'avaient rencontré, il retourna les étagèrent de bout en bout mais aucune trace de cette manivelle.Pour sa peine il récolta au passage une clef de casier.Il fit les cents pas dans les deux couloirs , examinant les murs, qui ne regorgeaient au finale rien d'autre que de la sueur terreuse et du moisie.Ce n'est qu'en arrivant près de la boule "piégé "qui avait anéanti l’ascenseur, que le capitaine remarqua un passage possible sous la boule.En effet le caillou sphérique bouchait le passage du troisième tunnel que Marini avait décrit comme vide, mais dans le coin du mur au niveau du sol un individu de corpulence légère pouvait se faufiler, entre la boule et le mur .*

Enrico - Rebecca regardes! Tu crois que tu pourrais arriver à te faufiler ?

* Derrière ce tunnel inaccessible au vétéran la jeune femme pouvait découvrir quelque chose...Enfin le vieil homme l'espérait.*

INVENTAIRES : beretta, magnum, couteau, grenades, lampe torche,radio, clef de casier et munitions
CARTES/ACCES : recherche manivelle à embout carrée

* Enrico se laissa aller à quelques confidences sur ses états d'âme. Elle pouvait le comprendre, tous les deux avaient frôlé la mort en ces murs lugubres. *
* Le capitaine des bravos voulait absolument trouver la manivelle à bout carré, ce qui devenait une urgence vu la situation. Ils fouillèrent la pièces précédente mais en vain. Rebecca commençait sérieusement à s'inquiéter, imaginant déjà les longues heures coincées sous la terre de ces ruines macabres. *
* Près de l’ascenseur, Enrico fit remarquer un passage près de la pierre qui les avait surpris en arrivant. *

Enrico - Rebecca regardes! Tu crois que tu pourrais arriver à te faufiler ?

* Elle jaugea du regard l'interstice entre la pierre et le mur. *

- Je devrais pouvoir passer. De toute façon nous n'avons pas le choix.

* Elle s'agenouilla, cala son revolver dans son holster et parvint à se faufiler avec sa lampe torche de l'autre côté de la pierre, dans le dernier passage inexploré. ici, pas question de compter sur Enrico pour lui venir en aide en cas de besoin. Rebecca se mordit la lèvre. *
Pourvu qu'il n'y ait rien...
* Malgré son appréhension elle se releva et éclaira le passage devant elle. Elle se trouvait face à un coude étroit. et assez bas de plafond. Pour peu la jeune femme aurait dû baisser la tête. *
* Elle souffla. *

- Je suis passée Enrico. Il y a un coude je vais voir ce qu'il y a plus loin.

* Elle essayait tant bien que mal de masquer son appréhension, de plus en plus forte. Des coudes elle en avait déjà vu trop, jamais avec de bonnes surprises au bout. *
* Mais heureusement ce tunnel était dépourvu de vie et de non-vie. Rien d'autre que de la moisissure et de l'humidité. Et une porte. Visiblement une sorte de placard si l'on en croyait un petit panneau écrit "Stuff". *
* Rebecca remarqua tout de suite que la porte n'était pas femée. Elle n'avait même pas de verrou. Rebecca tira le panneau de bois et découvrit des tas de produits et d'instruments de toutes sortes. *

- Je viens de tomber sur une sorte de remise....

* Mais alors qu'elle promenait le faisceau de sa torche sur les objets, elle entendit un grand bruit qui lui glaça le sang. *

* Rebecca venait de se faufiler dans l'espace restreint, puis ce fut le silence radio jusqu’à un bruit intriguant suivit de quelques secondes d'une coupure d’électricité total.*

Enrico[radio] - Rebecca ! Qu'est ce qui ce passe ? Y a plus de courant ici, je vais tenté de le remettre !Soit prudente!

Le hunter à du faire des siennes dans la sale du convertisseur.

Marini alluma sa lampe torche, il n'avait pas très envie de retourner affronter le hunter dans le noir, mais si ils voulaient continuer l'exploration dans de meilleur condition le courant serait donc le bien venu.De plus si quelqu'un voulait savoir ce qui se passe ils rappliqueraient probablement ici.Et Marini n'avait pas envie de se confronter à plusieurs hommes armés dans le noir.Son magnum à la main il tourna la clef au doberman et pénétra dans la salle des machines, le bruit illogique de l'une des deux turbines couvrait le déplacement du hunter et impossible de savoir sa position.Enrico referma la porte devant lui restant à l’extérieur de la pièce.Il surveillait toujours ses arrières et sortit son zippo qu'il alluma et plaça devant la porte.Il éteignit sa lampe torche clencha et ouvrit la porte reculant ainsi dans le noir pointant son 357 vers l’orifice béant.Il attendit quelques secondes et le crapaud tomba dans le piège se présentant sous le chambranle métallique juste devant la flamme, Enrico pressa la détente une seule fois et la balle suffit à en venir à bout.Par mesure de précaution il attendit encore un instant puis se dirigea dans la pièce avec sa lampe torche allumée.Effectivement l'une des deux turbines avait sa courroie coupée.Il arrêta le système du moteur en question et rechercha à tout hasard une courroie de remplacement, Umbrella était plutôt bien organiser, parmi les burettes d'huile et de graisse quelque clefs ainsi que deux courroies s'y trouvait.Marini fit le nécessaire et remis l’installation en marche.Il récupéra son zippo et la lumière fut à nouveaux.Il ne manqua pas de refermé la porte à double tour et d'y garder la clef.*

Enrico[radio] - Rebecca j'ai remis le courant qu'est que ça donne de ton coté ?Je retourne au caillou.

*Ce que Marini redoutait se produisit un bruit de porte métallique raisonna provenant du premier couloir que Reb avait exploré.Les bruits de pas se hâtaient il ne pouvait plus faire demi tour, il percuta les deux lampes au dessus de lui à l'aide de la crosse de son revolver,puis se camoufla dans l'ombre juste à coté près des ruines de l'ascenseur.Si Rebecca n'avait rien trouvé voilà bien une opportunité de franchir cette porte, mais à quel prix ?*

Attendons de voir...

* Le courant se coupa subitement. Rebecca releva la tête. Le détecteur ne captait peut-être plus sa présence ? Elle avait toujours sa lampe torche allumée mais c'était moins pratique. Puis sa radio grésilla et la voix d'Enrico jailli du haut-parleur. *

ENRICO : - Rebecca ! Qu'est ce qui ce passe ? Y a plus de courant ici, je vais tenté de le remettre !Soit prudente!
- Ok ! Je continue mes recherches.

* Elle coupa la radio et la remis à sa ceinture. Même si elle ne le disait pas, tout cela ne la rassurait pas vraiment. Entre les chiens, le hunter et les coupures de courant intempestives, tout portait à croire qu'ils avançaient vers des pièfes plus dangereux encore. *
Et où peut bien être cette manivelle ?
* Elle se mordit la lèvre et bougea des bouteilles en plastique, des seaux et quelques balais avant de voir ce qu'elle cherchait sur le sol. Une tige avec un embout carré, tombé juste à côté d'une clé non identifiée. Par prudence, la jene femme saisit les 2. Vu la tête de la clé, celle-ci devait ouvrir la porte d'une pièce intéressante, pas un placard à balais quelconques. Mais pourquoi l'avait-on mise ici ? Etait-ce une cachette ? *

* La voix d'Enrico retentit de nouveau, quelques secondes après que le courant soit revenu. *

ENRICO : - Rebecca j'ai remis le courant qu'est que ça donne de ton coté ?Je retourne au caillou.
- J'ai trouvé la manivelle ainsi qu'une clé. On ne sait jamais ça pourra surement nous servir, je crois que quelqu'un l'avait caché ici dans un but que j'ignore.

* Elle retourna près de la pierre et s'agenouilla pour retourner de l'autre côté, mais à peine était-elle engagée qu'elle entendit une voix. *

?? : - T'as vu ? Quelqu'un a déclenché le piège !
?? : - Ouais ! Faut faire gaffe, c'est surement pas un chevreuil perdu.

* Il y eut un cliquetis que Rebecca reconnu entre mille : le bruit d'une sécurité qu'on enlève, une arme chargée prête à faire feu. La jeune STARS se figea, glacée. Pour l'instant elle était en sécurité derrière la pierre, si c'était bien des hommes comme les voix le laissaient penser, ils ne pourraient pas l'atteindre. Mais quid d'Enrico ? Elle ne pouvait pas la laisser seul. Qu'allait-il arriver maintenant. Il fallait prendre une décision rapidement. *


INVENTAIRE REBECCA : M92F - quelques chargeurs - Trousse de soin et kit de premiers secours. - Lampe torche - manivelle à bout carré - Clé non identifiée
INVENTAIRE STAN : M16 - Couteau de combat - Chargeurs - lampe torche

*Un peu plu tôt Rebecca lui avait spécifié la trouvaille de la manivelle et d'une clef.Un peu plus tard les deux types furent dans le champs de vision du capitaine toujours accroupit dans l'ombre camouflé quelque peu par la structure métallique rouge défoncée.L'un d'eux était munit d'un pistolet tandis que l'autre portait une sacoche typé pour la maintenance.*

Type de maintenance - T'as vu ? Quelqu'un a déclenché le piège !

Type armé - Ouais ! Faut faire gaffe, c'est surement pas un chevreuil perdu.

Type de maintenance - Allons voir à la salle des machines, ces intrus y sont surement pour quelque chose.

Type armé -*En enlevant la sécurité de son arme et observant si le caillou était recouvert de sang pour sasurer que le piege ait bien fonctionné.* Attends je préviens la sécurité !

*Marini n'eut d'autre choix que d'intervenir.Bondissant de sa cachette beretta au poing pointant le torse du vigile.*

Enrico - Poses la radio si tu ne veux pas finir avec une balle dans le ventre !

*Le type surprit baissa tout doucement sa radio, mais garda son arme .L'autre type paniqué ce mit à courir vers la voie par la quelle il était venue.Enrico tourna légèrement la tête vers le rochet:*

Enrico - Rebecca vite! Il faut rattraper l'autre mec avant qu'il ne franchisse la porte !

*Le type armé profitant de cette diversion leva son arme et tira en direction du moustachue qui d'un geste pressa instinctivement la détente se laissant tomber sur le coté.La balle de 9mm pénétra le bras gauche de Marini tendit que l'autre balle vint se planter dans le coup de son agresseur, le laissant s'étouffer par son sang qui remplissait à présent ses poumons.Rebecca venait d’apparaître.*

Enrico - C'est bon, c'est le bras , arggh...Vas y fonce !Si il nous échappe il préviendra la cavalerie!*dit-il appuyant son autre main sur son biceps gauche limitant ainsi le saignement .

INVENTAIRES : beretta, magnum, couteau, grenades, lampe torche,radio, clef de casier et munitions

* La situation dégénéra rapidement. Elle resta quelques secondes derrière le rochet le temps pour elle de chercher la meilleure solution, mais un coup de feu ne lui en laissa pas le temps. Enrico prononça son nom et elle se mit en mouvement, passant dans l'interstice. *
* La manivelle qu'elle avait accrochée à sa ceinture tomba au sol devant le rocher sans qu'elle ne s'en rende compte, trop concentrée sur sa tache. Elle se remit rapidement sur ses pieds eet vit son capitaine le bras replié contre lui pour arrêter une émorragie. Tout se bouscula durant quelques secondes dans son esprit. rester pour le soigner ou rattraper le fuyard ? *

ENRICO : Enrico - C'est bon, c'est le bras , arggh...Vas y fonce !Si il nous échappe il préviendra la cavalerie!

* La jeune fille se mit donc à courir sans demander son reste. Elle vit l'homme un peu plus loin, actionnant la porte lourde porte déjà en train de se refermer. Elle n'eut que le temps de se glisser dans l'étroite ouverture et se retrouva de l'autre côté. L'homme avait toujours un coup d'avance. Il se faufilait à travers des couloirs tous aussi déserts les uns que les autres. Lentement mais sûrement, sa cible était en train de la perdre dans le labyrinthe de tunnels. Soudain, il prit un escalier et arriva devant une lourde porte en métal. Elle était fermée. On pouvait voir à travers les larges barreaux une sorte de palier plongé dans la pénombre, puis deux autres escaliers qui s'enfonçaient plus profondément encore dans le sol. Rebecca dégaina son arme et braqua l'inconnu. *

- Bouge plus ! Ne bouge plus sinon je tire dans ton genou et crois moi tu n'as pas envie de savoir comme ça fait mal.

* Essoufflée, elle espérait que sa voix paraissait suffisamment convainquant. L'homme, qui respirait tout aussi vite, ne cherche pas à fuir ni à résister. *
* Elle allait devoir trouver de quoi le ligoter là le temps qu'Enrico les rejoigne, et c'est à ce moment là qu'elle se rendit compte de l’absence de manivelle à sa ceinture. *
Mince.... !
* Mais cela pourrait peut-être aider son capitaine s'il la retrouvait. Pourvu qu'elle ne soit pas tombé pendant sa course poursuite, de l'autre côté de la porte, là où elle ne serait d'aucune aide pour le Moustachu. *
* Elle reporta son attention sur l'urgence : l'homme de maintenance. *

- Bon, tu vas gentilment me conduire à une réserve de matériel où je pourrai trouver de quoi te ligoter. Et n'essaie pas de me jouer un mauvais tour sinon la balle partira toute seule....

* Sa voix tremblait, elle-même n'était pas convaincue par ses paroles. *

HOMME : - Vous êtes qui au juste ?

* Rebecca fronça les sourcils. *

- Je pose les questions. Allez en route.

* Elle ne savait pas où elle était, ni si Enrico ou Stan pourrait la rejoindre, elle ne savait pas non plus où elle allait. Sa seule certitude, c'est qu'elle était seule, et qu'elle ne pouvait compter que sur elle-même. *


INVENTAIRE REBECCA : M92F - quelques chargeurs - Trousse de soin et kit de premiers secours. - Lampe torche - manivelle à bout carré (égarée) - Clé non identifiée
INVENTAIRE STAN : M16 - Couteau de combat - Chargeurs - lampe torche

bon sang, déjà la dernier fois avec deux équipes on n'a pas réussi faire ce qu'on voulait ici!
Alors maintenant à deux et blessé, nos chances sont minces...

*Il examina sa plaie, par chance la balle était ressortit l'os n'avait pas été touché.Il s’avança à genoux jusqu'au cadavre de son assaillant et lui arracha un bout de son t-shirt.Rebecca ne semblait pas revenir, ce ne fut pas bon signe, de plus c'est elle qui possédait la matériel médical.Enrico s'engloba le morceau de t shirt au tour du bras pour réaliser comme il le pouvait un pansement compressif de fortune.Il récupéra l'arme qu'il positionna à sa ceinture à l’arrière de son dos, puis il s'empara de la radio et enfin il fouilla les poches du cadavre.Il s'enrichit d'une clef violette et traîna le corps pour venir le cacher dans la salle verrouillée.Bien que les traces de sang ne s'étaient pas évaporées sur le sol, cella permettrait de semer le doute dans l'esprit d'une éventuelle personne de passage se pointerait.Sa deuxième radio ce mit à crépiter:*

Voix [radio] - Ici White, attendons votre rapport.

Enrico [radio] -*Camouflé par le bruit des moteurs*Il y a une des deux turbines qui déconne, Il dit qu'il en a pour une heure,je vais rester sur place ,un hunter c'est égaré sur le palier au dessus de la rivière.Terminé.

Voix [radio] - Bien reçu Peck, attendons votre prochain rapport dans une heure! Terminé.

Bon cela signifie que Reb est toujours à l’abri, c'est déjà ça.

*Lors de son déplacement du cadavre devant le caillou le capitaine avait remarqué un objet au sol probablement laissé par Rebecca lorsqu'il avait les yeux sur sa plaie car il s'agissait là de ce qu'ils cherchaient depuis le début.Il ramassa la manivelle et ce dirigea vers la porte qu'il passa pour le coup sans de difficulté.Il continua le long couloir esseulé avant de se retrouver face à plusieurs directions.*

Enrico [radio] - Tu as réussi à rattraper le fuyard? Je me trouve avec plusieurs possibilités d'avancement, la quelle tu as prise?

INVENTAIRES : beretta, magnum, couteau, grenades, lampe torche,radio STARS,radio Umbrella, clef de casier,clef violette,clef à tête de chien, manivelle à bout carré et munitions

* L'homme la conduisit sagement jusqu'à une nouvelle porte flanquée d'un écriteau "Stuff". Il ne dit rien lorsqu'il s'arrêta devant et laissa Rebecca ouvrir. A l'intérieur, nombre d'objets, des sceaux, des produits d'entretiens et d'autres choses qu'elle ne connaissait pas. *
* Son regard s'arrêta sur un rouleau de cordelette. Cela ferait l'affaire. Elle ligota l'homme en serrant au maximum afin qu'il ne s'échappe pas. Il se laissait faire, résolu quant à son sort. Elle fini par se relever et contempler l'homme abbatu et toujours aussi silencieux. Elle se frotta les mains. *

- Bien. Cela devrait faire l'affaire.

* Soudain, sa radio grésilla. *

Enrico [radio] - Tu as réussi à rattraper le fuyard? Je me trouve avec plusieurs possibilités d'avancement, la quelle tu as prise?

* Elle se mordit la lèvre et appuya sur le bouton de communication pour répondre. *

RADIO : - Je viens de mettre le fuyard hors d'état de nuire. En revanche il m'a promené dans les conduits à n'en plus finir, j'avoue que je ne sais pas moi-même où je suis je.... je me trouve non loin d'une grosse porte en fer, visiblement un chemin principal qui devrait nous mener dans les véritables installations mais je ne sais pas te dire exactement par où nous sommes passé.

* L'homme lui avait fait faire tant de tour et détour qu'elle se sentait plus désorientée que jamais. *

RADIO : - Je ne vais pas bouger d'ici et essayer de contacter Stan. Comment va ton bras ? Je suis très inquiète...

* Elle attendit la réponse de son capitaine, à demi dans l'obscurité. La présence de l'homme la rassurait un peu mais la situation n'était pas idéale. Plus le temps passait et moins elle était optimiste. Et que dire de Stan ? Où était-il ? Allait-il bien ? La jeune femme aimait bien cet homme courageux et sympathique, elle commençait sérieusement à regretter l'avoir amené ici. *

Et si tu étais notre seule chance, Stan... ?


INVENTAIRE REBECCA : M92F - quelques chargeurs - Trousse de soin et kit de premiers secours. - Lampe torche - - Clé non identifiée
INVENTAIRE STAN : M16 - Couteau de combat - Chargeurs - lampe torche

* L’infirmière répondit, mais sa position était inconnue:*

Enrico - Je ne te cache pas que je préférerais que tu l'examines.Il vaudrait mieux que l'on se retrouve tu peux demander à l'homme de maintenance qu'il te reconduise jusqu'à cette porte à manivelle je suis sur le chemin, je t'attends si possible.Terminée.

*C'est éternel allé/retour était bien la spécificité du Manoir et de ses sous terrains,Marini blessé opta donc pour la prudence sur le coup et décida d'attendre à sa position.Il examina les alentours des différentes possibilités de d'avancement mais rien ne lui donnait d'indication.Enrico se sentait perdu et affaiblit, si l'agent Chambers ne pouvait le rejoindre il allait devoir se mouvoir...Il rechargea son arme de poing et s'accroupi un moment s'épongeant le front.Dans l'attente il tenta de contacter Stan, mais rien a faire, aucun signale ne passait.*

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HJ: lol, court poste pour le coup, j'attends de voir ce que tu vas faire.

HJ : Comme tu semblais intéressée par Stan je me suis permis, j’espère que ça ne pose pas de problème.J'ai fait un résumé et je suis allé à l'essentiel.DJ:

*Stan camouflé derrière ses feuillages attendit patiemment l'heure de midi.Comme le couple l'avait prédit deux hommes se pointèrent au rendez vous, l'un armé d'un fusil d'assaut l'autre dune mallette médicale.Les quatre hommes firent leurs affaires habituelles et quand le vigile eut un moment d’inattention Stan lança une sommation orale.Le type armé leva les bras en l'air, puis après quelques manoeuvres policière Stan les emmena vers le véhicule de Marini qui ne se trouvait pas la porte à coté, il ramassa l'arme automatique et le groupe se mit en mouvement sur le sentier. La pluie soudaine vint à tomber et le rpd glissa sur le sole devenu boueux, l'homme musclé tenta de s'emparer de son arme et la rafale partie perçant de trois trous le corps de l'inconnu.L'autre type théorisé se mit à genoux criant de ne pas le tuer.Stan lui passa la seule paire de menottes qu'il avait en sa possession et les deux reprirent leur route abandonnant le cadavre derrière eux.Arrivés à la voiture du capitaine, Stan accrocha le type au volant et pour s'assurer qu'il n'alerte pas d'éventuels promeneurs, il déconnecta tout les fusibles du boitier central.Il retourna sur les lieux où ses deux collègues avaient disparu et se mit leurs recherche. Sa radio ne semblait plus fonctionner selon lui.Il découvrit la trappe mais celle ci ne s'ouvrait manifestement pas.Il rechercha un autre moyen de pénétré dans les ruines jusqu'à la vue d'un escalier probablement d'époque.Il vérifia son arme et descendit les marches pour ce retrouver dans un couloir, il continua d'avancé prudemment et à son bout découvrit un ascenseur.*

Stan - Les deux types ont du débarquer de là!

*Il ouvrit la porte du monte personne qui se trouvait au bon étage."0" " -1" et " -2" clignotait parmi ses choix, Il pressa le bouton" - 1" et l'ascenseur se mit en marche.*

INVENTAIRE STAN : M16 - Couteau de combat - Chargeurs - lampe torche - radio - fusille mitrailleur chargé.

PNJ joué par Enrico Marini

Enrico - Je ne te cache pas que je préférerais que tu l'examines.Il vaudrait mieux que l'on se retrouve tu peux demander à l'homme de maintenance qu'il te reconduise jusqu'à cette porte à manivelle je suis sur le chemin, je t'attends si possible.Terminée.

* Elle ne répondit rien et jeta un regard au pauvre ère resté assis sur le sol humide, derrière elle. On voyait très bien qu'il serait innofensif. Sa tenue de travail n'offrait pas de poches où cacher du matériel et tout portait à croire que c'était le genre de type à ne pas faire de vague. Elle revint vers lui. *

- Après ce petit footing, tu vas me ramener à l'entrée.

* L'homme esquissa un sourire et s'obstinait à regarder un point que seul lui voyait, quelque part devant lui. *

HOMME : - Sinon quoi ? Tu vas me buter ?

* Il leva les yeux vers elle et dévoila quelques dents. *

HOMME : - Tu peux y aller, je n'ai plus rien à perdre. C'est ma dernière semaine de travail ici de toute façon. J'ai une leucémie et je serai mort dans un mois. Alors colle moi une balle dans le buffet si ça te chante, ça abrègera peut-être mes souffrances. Mais quoi qu'il en soit je ne te mènerai nul part. Vous n'avez rien à faire ici et si les types de la corps vous tombent dessus ce sera bien fait pour vous.

* Sur ce il regarda de nouveau dans le vide et se mura dans le silence. Rebecca resta debout, interdite. Elle examina le lieu, a part la porte métallique qu'elle avait trouvé, aucune voix ne semblait accueillante. Elle reporta son attention vers l'homme. *

- Il y a quoi derrière cette porte, l'entrée des labos ?
HOMME : - Jte l'ai dis, j'dirais rien. J'ai rien à gagner à t'aider, et j'ai rien à perdre non plus. Alors va te faire foutre. T'aider ça va pas m'aider.

* Ok, elle était coincée. Elle s'éloigna de quelques pas et repris sa radio. *

- Enrico.... Le type refuse de coopérer. Je suis coincée ici et je ne sais même pas où je suis. Mon seul repère est cette porte métallique qui laisse voir des escaliers. Je suppose que c'est l'entrée des labos, ou un accès vers une sortie de secours un peu plus loin. Comment va ton bras ? Terminé.

* Puis elle entendit un bruit derrière elle. Elle se retourna pour faire face aux escaliers et écarquilla de grands yeux. Une lueur orangée accompagnait un bruit de frottement. On venait. *