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 La Nuit Au Musée [+ Y.Wolfwound, F.Liberty, P.Mustang]

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Faith Liberty

Faith Liberty



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MessageSujet: Re: La Nuit Au Musée [+ Y.Wolfwound, F.Liberty, P.Mustang]   La Nuit Au Musée [+ Y.Wolfwound, F.Liberty, P.Mustang] - Page 2 Icon_minitimeMer 21 Sep 2011 - 1:41

[Youpi !! Enfin une réponse, il était temps !!]

*F.A.I.T.H sentait la vie qui s'échapait de sa blessure au même rythme que le sang, mais elle ne le regrettait pas. Elle n'avait pas découvert encore comment se guérir elle-même, ce n'était pas grave. Cependant, ce qu'elle regrétait, ce fut le meutre de l'homme. Certe, il était un ennemie, un meutrier, mais c'était aussi le père, le frère, le fils de quelqu'un. Un ami aussi peut-être, un véritable être humain lui aussi victime quelque part de la corpo, et de la violence du monde. Et maintenant il était, pas de deuxième chance pour lui. À moins que ?*

*Elle sentit alors les mains de celui qu'elle avait voulus sauver l'entourer. Elle se sentait de plus en plus faible. Elle devait aidé l'homme, lui donner une chance avant qu'il ne soit trop tard. Elle ne voulait pas de vie gaspiller autour d'elle si elle pouvait l'éviter. Elle ne pouvait pas le supporter.*

"Je.. dois le ... sauver"

*Elle le devait, elle le voulait. Elle réussi à se dégager et à remper jusqu'à l'homme. Elle n'avait pas assez de temps et d'énergie avant de perdre connaissance pour le guérir complètement, mais elle murmura au dessus de l'homme. Elle savait qu'il l'entendrait. En perdant connaissance, l'ouïe est la dernière chose que l'on perd et seulement après plusieurs minutes. Elle entendait son étrange respiration mouillé, de la gorge. Elle pouvait encore le sauvé.*

"Malgré tout... je ne peut... vous laissé mourir... tout le monde... a droit à ... une deuxième... chance."

* Elle appliqua alors ses mains sur la blessure à la gorge, c'était la dangereuse. Elle se concentra, projetant son énergie, visualisant dans son esprit une lumière doré qui partait de ses mains et se diffusait à la blessure, elle y mis le plus d'énergie qu'elle était capable alors qu'elle sentait ses forces diminuer de plus en plus vite. Et le miracle se produisit. D'une main elle récupéra la balle, et l'autre resta appliquer fermement sur la blessure. Puis, elle sentit ses forces décliner, l'inconscience se rapprocher. Alors elle lâcha prise sur son étrange pouvoir. La blessure était loin d'être refermé, mais l'homme aurait une chance de survivre. C'était le mieux qu'elle put faire. Elle se laissa glisser au sol, sans énergie, vidé. À peine consciente, elle combattit cependant de toute ses forces l'engourdissement et l'oublie. Elle ne pouvait pas se permettre de perdre connaissance. C'était trop dangereux.*
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William Sparda

William Sparda



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MessageSujet: Re: La Nuit Au Musée [+ Y.Wolfwound, F.Liberty, P.Mustang]   La Nuit Au Musée [+ Y.Wolfwound, F.Liberty, P.Mustang] - Page 2 Icon_minitimeDim 2 Oct 2011 - 15:31

[HRP : Si quelque chose te dérange dans le post, n'hésite pas à m'en faire part.]

    * L'adolescente montrait des signes inquiétant de faiblesse. Elle vacillait sur place, gelée, le regard planté en direction du cadavre, comme mécontente ou traumatisée par le sort qu'il lui avait été réservé. Conscient de l'intérêt soudain de la jeune fille pour l'homme qu'il avait abattu, et dont le sang commençait à s'écouler telle une fontaine sur les marches du petit escalier, il tenta de la préserver de cette image macabre en lui couvrant le visage. Il lui intima même de le suivre au plus vite, mais elle semblait tellement absorbée par la scène qu'elle ne daigna pas bouger d'un pouce. Ses jambes se dérobèrent et elle s'affala sur le sol, toussotante, avant que William n'ait pu la rattraper. Il s'accroupit pour prendre compte de son état de santé. *

    Jeune fille - Je.. dois le.. sauver,. * Bégaya-t-elle. Elle était délirante. Quand bien même elle pouvait le maintenir en vie quelques secondes de plus, elle ne pouvait espérer le guérir d'une blessure pareille sans équipements. Seulement cette tâche lui tenait visiblement beaucoup à coeur, et c'est avec dépit qu'il la laissa ramper jusqu'à l'autre homme. *

    - Tu n'y arriveras pas, c'est peine perdue,. * Dit-il en suivant sa difficile progression vers le macchabée.* Tu ne gagneras qu'à finir comme lui si tu ne me laisse pas t'emmener jusqu'à l'hôpital ! * Mais elle ne l'écoutait déjà plus, affairée à tâter le pouls au poignet gauche de son détracteur en lui chuchotant ses propos dans l'oreille, pensant qu'il était encore conscient. Elle porta ensuite ses mains, croisées l'une sur l'autre, à hauteur de la plaie béante. Rien n'avait l'air de se produire, pourtant la blessure sur la gorge cessa de suinter, puis sembla se résorber. Caché par la tête et la longue chevelure de la fillette, le miracle échappa aux yeux du jeune homme qui tapait du pied sur le bitume, impatient de partir et de ne plus avoir affaire à ses déséquilibrés de mercenaires pour la soirée. Son agacement laissa aussitôt place à de la surprise lorsqu'il entendit l'homme mort recraché le sang qu'il avait dans la bouche. Il se précipita, arme à la main, vers la scène. L'homme reprenait connaissance, William n'en croyait pas ses yeux. *

    Comment c'est possible, il a pris une balle dans la carotide !

    * Tout à fait stupéfait par la tournure que prenait une nouvelle fois les évènements, le jeune faussaire détourna son regard vers la gamine au visage d'ange, complètement vidée de son énergie. Elle en avait assez fait pour ce soir, il était temps pour elle d'être récompensée pour tout les efforts qu'elle avait accompli. Le S.T.A.R.S tâta les poches de sa veste puis de son pantalon avant de se souvenir que c'était elle qui possédait son téléphone cellulaire. Ignorant où elle avait bien pu le ranger, il fut bien obligé de palper ses vêtements à des endroits susceptibles de renfermer ce qu'il espérait retrouver. Par chance, il n'eut pas à établir une fouille complète et mis la main dessus du premier coup. Il pianota rapidement l'écran tactile, déverrouillant temporairement l'accès à l'appareil et composa le numéro d'urgence. *

    - Hôpital de Raccoon City, bonsoir. Quel est le motif de votre appel ?
    - Mhm, .. Bonsoir .. J'appelle pour vous signaler la découverte d'un homme grièvement blessé, dans le petit parking privé du tout nouveau musée d'histoire naturelle, merci de dépêcher une unité rapidement sur les lieux, il risque d'y passer d'une seconde à l'autre !
    - Quelle est la nature de la blessure ?
    - Merde ! On a pas le temps pour ces conneries.. On lui a tiré dessus, d'accord ?! Alors grouillez !
    - … Très bien, on vous envoie un fourgon.


    * L'appel fut expéditif. Il avait deux quasi-cadavres sur la conscience et aucun moyen concret de s'en débarrassé. Seul point positif, personne semble-t'il n'avait été témoin de tout ce tintamarre. En revanche, il ne restait aucune trace de l'autre chahuteuse et l'arme qu'il possédait entre les mains était à elle seule responsable de toutes les blessures infligées durant la fusillade. Ainsi, il y avait fort à parier que le moindre individu malchanceux croisant sa route irait s'imaginer qu'il était l'auteur de tout ses méfaits. Plus que conscient que cela nuirait grandement à la mission qu'il s'était donné pour but d'accomplir, il jeta négligemment l'arme à feu à travers les broussailles, par delà le grillage, sans même prendre le temps d'effacer ses empreintes. Une grave erreur caractérisant à elle seule l'état de confusion dans lequel il se trouvait à l'instant. Peu importe, il ne lui était plus possible de revenir sur son geste. Il rempocha son mobile dans la poche intérieure de sa veste puis appliqua ses mains à chaque extrémités du corps de l'adolescente pour la soulever et la transporter ailleurs en prenant soin de ne pas attirer l'attention. Il n'avait en effet signalé qu'un corps à la standardiste de l'hôpital, ce qui laissait sous-entendre qu'il avait d'autre projet pour elle. Et étant donné ses compétences en médecine, il se sentait capable de lui éviter – de son propre chef - le trépas. Cette initiative périlleuse n'était pas dans ses habitudes, mais qu'importe, elle s'était bien sacrifiée pour lui éviter d'être blessé alors, une mince entorse à son règlement ne pouvais pas lui être imputable. *

    * Elle ne réagissait toujours pas. Ses paupières laissaient de temps en temps entrevoir des pupilles dotées de faibles étincelles, mourantes. Il pressa le pas à l'intérieur du couloir et s'effaça derrière l’entrebâillement d'une porte qu'il avait constaté lors de son premier passage. C'était provisoirement le seul endroit sans danger qu'il était en mesure de s'offrir après ces évènements ; l'accès aux véhicules à l'extérieur du parking – vide - étant constamment sous surveillance. *

    * A première vue, la pièce dans laquelle ils venaient d'atterrir n'offrait pas le confort espéré ni adéquat pour le type d'intervention qu'il avait à réaliser. C'était un lieu austère, seulement munie d'une flopée de moniteurs de caméras, un siège de bureau en cuir, un extincteur près de l'entrée et une armoire à pharmacie dans le coin opposé ; une maigre consolation dont il pourrait néanmoins tirer profit. Faute de pouvoir faire mieux, il déposa la gamine sur le sol en linoléum parfaitement lustré puis s'empara du sac de premier secours derrière la porte de l'armoire qu'il déposa sur le siège inoccupé. Il ôta sa veste, retroussa ses manches et se mit accroupit près de la malheureuse. La blessure, même recouverte par la friperie ensanglantée dont elle était affublée n'était pas belle à voir. L'opération n'allait pas être de tout repos. *

    - Voyons voir ce que cette trousse de soins a à nous offrir,. * Pensa-t'il à voix haute sans s'en rendre véritablement compte. Le petit paquetage comprenait en tout et pour tout : un spray désinfectant, des gants en latex, une pince, des ciseaux, un scalpel, des pansements, des compresses, des bandages, des tampons imbibés d'alcool pour stériliser les instruments, des analgésiques, et de l'aspirine. Il y'avait là de quoi extraire la balle et panser la plaie, mais vu la quantité d'hémoglobine qu'elle avait perdu dans la bataille, une transfusion sanguine - qu'il ne pouvait réaliser sans savoir son groupe sanguin - était sa seule chance de survie. En clair, cet entêtement de vouloir lui prodiguer des soins clandestinement n'était somme toute pas la meilleure des solutions pour lui assurer une vie longue et prospère. *

    - Pardonne moi,. * Dit-il en fixant le visage blafard et sans émotions de la jeune femme qui paraissait sereine dans cet état d'inconscience, prête à rejoindre l'entité qui la guiderait vers un monde meilleur.* Pardonne moi de t'avoir entraînée là-dedans.. * Ajouta-t'il avec une pointe d'amerture – et de regret d'en être arrivé là – en sentant un frisson lui parcourir l'échine. Il se sentait coupable de ne pas avoir été emporté – à sa place - d'une balle dans la tête vers l'au-delà, et maintenant qu'il en avait l'occasion, il laissa l'émoi l'envahir. Ses yeux s'humidifièrent puis une froide larme s'écoula le long de sa joue, finissant sa course sur les lèvres violacées de la jeune brune. Cette scène – et cette larme - que l'on dénote dans beaucoup de films tirés de contes de fée comme étant salvatrice ne lui rendirent pourtant pas leur vigueur. Le violet ne vira pas au rose, et son ange gardien de la soirée ne daigna pas ouvrir les yeux. Rien de miraculeux ne se produisit. *

    - Tu n'aurais vraiment pas du intervenir,. * Lâcha-t'il enfin, ravalant un sanglot. Il sécha promptement l'eau produite par ses glandes lacrymales et se mit à sourire innocemment. D'avoir céder un instant aux larmes lui donna la force d'en finir, et c'est avec une grande conviction de sa réussite qu'il se saisit des ciseaux pour entailler le tissus recouvrant la plaie. Une fois l'abdomen et le thorax mis à nu, il put enfin prendre connaissance de l'ampleur du choc. La balle de 9mm – encastré dans l'une des côtes - avait indéniablement causée d'importants dommages, mais ne semblait étrangement pas à l'origine de hémorragie dont la brunette avait été victime. Il était naïf de croire que la blessure se résorberait d'elle même et pourtant, le spectacle qui succéda à sa découverte ne manqua pas de le surprendre ; des filets de sang brunâtre de plusieurs millimètres – puis centimètres - étaient apparus tout autour du trou d'impact, puis disparurent et réapparurent plusieurs fois d'affilés. William suspecta en premier lieu un empoisonnement vu la prolifération inquiétante du phénomène puis se résout à croire à la thèse d'une régénération cellulaire du tissus épidermique lorsque la plaie commença d'elle-même à cicatriser. Du jamais vu ! La gamine était littéralement en train de reprendre vie sous ses yeux. *

    Monsieur Davis - Impressionnant, n'est-ce pas ? * Fit, au même moment, une voix grave partiellement robotisée. *J'imagine que c'est très déroutant à voir pour quelqu'un qui n'a pas été préparé à ce genre de singularité. * Un rire cynique s'en suivit et le jeune médecin intérimaire, pris d'un frisson à l'entente de ce commentaire qu'il cru être un instant le fruit de son imagination, pu enfin contempler à travers l'ensemble des moniteurs le visage de son nouvel interlocuteur. Un visage énigmatique, dissimulé derrière des lunettes de soleil, dont il reconnu cependant les traits. Le fameux personnage mystère aux allures d'homme de main qu'il avait déjà eu l'occasion d'entrevoir au tout début de la soirée en compagnie des trois pontes arrivait à point nommé. *

    La Nuit Au Musée [+ Y.Wolfwound, F.Liberty, P.Mustang] - Page 2 Misterdavis

    * Son immixtion inopinée soulevait de nombreuses questions auxquelles William tenta intérieurement de répondre sans réelles convictions. Il était clair que cet individu connaissait intimement la brunette étendue sur le sol, qu'il tenait tout particulièrement à ce que rien ne lui arrive, que son intérêt à prendre la parole face à l'inconnu qu'était le S.T.A.R.S avait été motivé par autre chose de plus grand et qu'il devait – à en voir la petite lumière rouge clignotante dans le coin d'un mur – être en train de les observer depuis sa position. La soirée, en apparence classique et pleine de bonnes intentions lui avait offert son lot de surprises, mais en observant plus attentivement le rictus sur les lèvres du nouveau protagoniste, il comprit – à tort, sans doute – que la fête était loin d'être terminée. *

    Monsieur Davis - Inutile de vous inquiétez, vous avez, grâce à Faith ici présente survécu à l'ordre que j'avais dicter de vous descendre. Profitez donc des derniers instants qu'il vous reste à vivre car malgré le don qu'elle possède, elle vous sera inutile pour les évènements qui vont suivre. Adieu.

    * Les moniteurs s'éteignirent et se rallumèrent aussitôt. Le visage de l'homme avait disparu, laissant place à de nouvelles images extraites des caméras disposées dans le grand hall où se déroulait le gala. Rien d'alarmant, pensa William qui – tout en fixant les écrans l'un après l'autre - peinait à garder son calme après la préoccupante déclaration de l'émissaire à son égard. Qu'entendait-il par « les évènements qui vont suivre » ? Qu'était-il en train de manigancer dans le dos des convives ? Il ne pouvait se résoudre à laisser un attentat se produire, mais il n'avait aucune idée de l'endroit où le marionnettiste et ses agents s'étaient planqués pour s'assurer une maitrise totale de la situation. Il réorienta son regard en direction de Faith – comme l'avait nommé l'inconnu des moniteurs – et, voyant que son buste se gonflait puis se dégonflait à intervalles régulier, tendit son oreille par dessus ses lèvres pour y sentir le contact du dioxyde de carbone expiré. La blessure n'avait pas disparue, mais son désir de ne pas sombrer dans l'inconscience avait pris le pas sur l'état comateux dans lequel elle s'était retrouvée en ayant voulu porter secours au mercenaire un peu plus tôt. *

    - Faith, tu m'entends ? * Céda-t-il, bouleversé par les capacités hors normes de la brunette qu'il espérait être sauve. *

    * Son interrogation fût brusquement interrompue par une vague de cris et de panique qui se propageait depuis l'intérieur du bâtiment. Le plan de Monsieur Davis était sur le point de prendre forme.. *
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Faith Liberty

Faith Liberty



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MessageSujet: Re: La Nuit Au Musée [+ Y.Wolfwound, F.Liberty, P.Mustang]   La Nuit Au Musée [+ Y.Wolfwound, F.Liberty, P.Mustang] - Page 2 Icon_minitimeMer 5 Oct 2011 - 17:25

*Faith n'allait pas se laissé mourir. Si elle avait vécu, si elle était la seul qui n'était pas morte avant même de vivre, c'était parce que son âme, son cœur refusait de mourir. Elle avait une grande volonté de vivre, et de vivre libre aussi.*

*Alors que son corps était en train de se réparer tous seul, alors qu'il croyait tous qu'elle serait comas pendant longtemps, Faith avait utiliser sa volonté hors du commun pour résister à l'inconscience, pour ne pas sombré dans le trou noir qui la menaçait.*

*Elle n'avait pas put répondre à William. Elle n'en avait pas encore la force. Elle devait les garder pour se régénéré et aussi pour resté consciente, pour ne pas perdre rien de ce qui se passait. Seul ses oreille fonctionnait encore, mais elle entendait tout.*

*La peur la saisis quand elle compris qu'on avait jamais perdu sa trace. C'était si simple, elle devait bien avoir une puce quelque part en elle. Et puis ça la frappa comme une évidence, bien sur qu'elle ne avait un. Tous ça avait été anticipé. Il la connaissait si bien, chacune de ses pensée avait toujours été presque enregistré, connu, étudié. Il était clair qu'elle avait été laissé libre à elle-même. Pourquoi, elle n'avait pas le temps de s'y pencher toute de suite, elle trouverait une solution à tous cela plus tard.*

*Heureusement, plus il parlait, et plus la jeune fille rassemblait sa volonté, plus sa colère grondait en elle et décuplait ses forces. C'était son devoir d'aidé les pauvres gens dehors. Il avait libéré quelque chose. Elle ne savait pas encore quoi, mais elle connaissait à peu près tout ce qui se faisait à Umbrella et tous les projet en cours l'année dernière. Il y avait peut-être un truc ou deux qu'elle ne connaissait pas, mais elle apprendrait et puis, il se ressemblait tous un peu quelque part. Tous des abominations... elle compris.*

- Faith, tu m'entends ?

*Alors elle décida d'ouvrir les yeux. Elle n'avait pas put le faire avant, et elle s'en voulait de l'avoir laissé se torturer pour elle. Mais elle ne pouvait pas rester caché ici alors que des gens mourrait.*

-Je t'entend. Je n'ai rien perdu de tous ce qui c'est dit.

*Sa voix était faible et elle se maudit de ne pas guérir plus vite. Elle se retourna lentement et sorti une trousse de son sac avec difficulté.*

- Il y a de quoi m'aidé à vous aidé. Injecté moi l'adrénaline qui s'y trouve. Quoi que ce soit dehors, j'ai été formé à tous les connaitres et pour un jour être en mesure de tous les tué. Je ne suis pas physiquement en état, mais l'adrénaline accélérera ma guérison, ou le devrait. Et ça me donnera plus de force. Je ne peux pas laissé ses gens sans défense souffrir à cause de moi. Je suis une abomination, comme eux. Sauver votre peau, ne rester pas ici. Et je vous promet de tout faire pour sauver ses gens.

*Elle devait faire un effort pour parler, elle se sentait déjà à bout de souffle. Elle n'osait plus le regarder. Qu'est-ce qu'il allait pensée d'elle ensuite. Elle ne pouvait pas ne pas le lui dire cependant. Elle ne voulait plus mentir au gens. Elle n'en avait jamais eu l'intention. Elle voulait juste donné un sens à sa vie, à sa création. Elle n'était pas humaine, juste une sorte de golem de chair créé pour protégé. Si elle pouvait sauver quelque innocent. Si elle pouvait ne jamais retourner à Umbrella, alors elle aurait eu quelque utilité.*

*Elle poussa la trousse vers lui de son bras tremblant. Elle n'avait même pas la force de lui donner directement et cela la mis plus en colère encore. Des gens allait mourir et c'était sa faute. Maudit corps trop faible. Elle n'était qu'une expécience raté. Alors qu'elle se maudissait intérieurement, elle retira complètement son gilet. Sur un de ses bras, on pouvait voir la marque caractéristique d'Umbrella accompagné du chiffre 36.*
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*Elle attendit, les mains tremblante, le visage fermé, tentant de son mieux de rassemblé ses forces si jamais il décidait de ne pas l'aidé avant de fuir.*

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