* Clac clac clac *
* Au milieu du parc, John ne se baladais pas impunément, il cherchais des informations bien précises sur la société qui semblais reigner sur cette ville : Umbrella *
* Les photos s’enchainaient, a la recherche d'un symbole, une personne, un indice qui pourrais le mettre sur une piste qui lui permettrais d'en savoir plus sur les mystères de la ville *
* Tout le monde y passais, tête, vêtements, zoom sur les malettes *

Il y a bien quelqu'un dans cette ville qui pose un insigne d'Umbrella !

* Une voiture noire, vitres teintées, logo Umbrella sur le flanc passe au loin *
* Sans attendre John sort de son sac le télé-objectif et se met a mitrailler de photo le véhicule *
* Tout ce qui pourrais etre utile, plaque, logo, forme de la voiture, des pneus... Tout, John cherchera ensuite des informations sur ce véhicule. Si c'étais possible *
* Le passage éphémère du véhicule étais fini. Le jeune homme soupira profondément et rangea le gros appareil *
* Il pris une bouteille d'eau de son sac a dos et en bu plusieurs gorgées, assoiffé *

Cette traque promet d’être longue...

* Une charmante jeune fille marchais au loin *
* John souria et profita de son matériel pour prendre quelques clichés *
* Pendant que la jeune fille sortais du parc, John se fis interrompre par un crissement de pneus *
* Elle se gara assez rapidement, sans grande classe, comme si les proprios étaient... louchent *
* Deux filles sortirent du véhicule sous l'oeil mécanique de l'appareil photo *
* Elles entrèrent dans le cyber café qui se trouvé a proximité *

Je ne sais pas ce qu'il se passe, mais j'aime bien !

* Alors que les filles s'installaient, John sortais le télé objectif et tentais de trouver un angle de vue afin de voir l'écran des deux jeunes femmes louches *
* Caché entre deux buissons l'objectif sortais a peine, le claquement de l'obturateur étais permanent, il ne devais rien manquer. *
* Il avais déjà tout de la voiture, plaque, modèle, numéro d'assurance. Restais à découvrir pourquoi deux jeunes femmes avaient pris autant de risques pour entrer dans un simple cybercafé *

<<< Centre commercial

* Jill roulait à vive allure en ville pour échapper au parking du supermarché et à son agitation dramatique. *
* La STARS avait proposé à Rebecca de se rendre au parc afin de se remettre de leurs émotions, ce qui était une bonne chose puisque Rebecca ne tenait absolument pas à rentrer chez elle *
Si on m'a suivit jusque là-bas, on est surement devant chez moi...
* Alors qu'elles passaient dans la rue qui longeait le parc, Rebecca vit l'enseigne d'un cybercafé clignoter pour attirer le chaland *
- Tiens arrête toi! Il y a un cyber là-bas! C'est l'occasion de voir ce que c'est que cette url.
* Jill gara la voiture à proximité, non sans avoir enfoncé le frein, et les deux jeunes femmes se dirigèrent vers l'enseigne. *

* L'intérieur du bar était plutôt coquet. L'ensemble du mobilier, moderne, était blanc, gris ou noir, le tout éclairé par des spots qui changeaient de couleur. Il y avait des tables à l'entrée, pratiquement toutes pleines, et quatre ordinateurs à écran plat dans le fond. Seul l'un d'eux était occupé *
Il faut dire que tout le monde possède le net aujourd'hui... je me demande si un cyber café est un commerce bien rentable...
* Un panneau au dessus de chaque machine indiquait "1$ l'heure d'internet, payable d'avance au comptoir". *
* Rebecca se dirigea donc vers le serveur et paya pour une heure sur la machine numéro 3. Après ce qu'elles venaient de vivre, Rebecca ne prit pas la peine de demander à Jill si elle voulait consommer quelque chose, la réponse paraissait évidente. *
* Rebecca s'installa ensuite devant l'écran, posa l'enveloppe et son papier à côté du clavier et entreprit de taper l'adresse *
* L'infirmière parlait à voix basse de sorte que la conversation ne reste qu'entre elle et Jill *
- Omicron... c'est une lettre de l'alphabet Grec, comme l'Alpha et l'Omega. C'est l'équivalent de notre O. Je me demande bien quel est le rapport, et surtout qu'est-ce que tout cela signifie...
* Elle fronça les sourcils. Un Flash venait de se refléter dans l'écran lustré de l'ordinateur *
* Sur le coup, elle n'y prêta pas attention, pensant qu'il s'agissait du reflet d'une voiture ou un client qui entrait. Mais à peine la page internet fut-elle affichée qu'un nouveau flash illumina l'écran. *
* Rebecca se retourna alors brusquement pour fouiller le décors du regard *
* la peur accélérait les battement de son coeur. *
* Elle souffla *
- On nous observe. Tu as vu les flashs ?
* Contrariée, elle fixa le parc avec plus d'attention. Et là, il lui sembla voir quelqu'un bouger derrière un buisson, avec une forme gris-noir indistincte. *
* Cela ne fit qu'un tour dans son esprit. *
- On nous observe! Il y a quelqu'un dans le buisson là-bas!
* Elle fit demi-tour pour fermer la page, fermer l'ordinateur et se précipita dehors. *
* La colère la faisait marcher rapidement et avec détermination. Dommage qu'elle ait laissé son arme chez elle, sinon cet intru aurait eu du soucis à se faire. *
* Après avoir regardé de chaque côté, elle traversa la route, énervée, et courut vers le buisson. *

* Rebecca proposa d'aller dans le cyber café du coin, histoire de tenter d'éclaircir le mystère de l'adresse internet *
* Jill tenta de garer la voiture du mieux qu'elle put sachant que , de toute façon et à cause du pare brise
brisé, elles n'allaient pas passer inaperçu *
* En descendant de voiture, elle essaya d'adopter la démarche la plus naturelle possible, puis suivie Rebecca à l'intérieur du bar *
* Elle ne put s'empêcher de remarque le trouble qui semblait avoir gagné la jeune S.T.A.R.S. *
De quoi peut-elle avoir si peur ?
* La jeune S.T.A.R.S. alla réserver un ordinateur, puis choisi le poste numéro 3 *
* Il manquait une chaise, que Jill ne manqua pas de prendre à la table voisine, où un jeune couple occupait une table pour 4 *
* Pendant ce temps, Rebecca avait déjà commencé son raisonnement *
REBECCA : - Omicron... c'est une lettre de l'alphabet Grec, comme l'Alpha et l'Omega. C'est l'équivalent de notre O. Je me demande bien quel est le rapport, et surtout qu'est-ce que tout cela signifie...
* Jill appuya son menton dans la paume de sa main, et scruta l'écran d'ordinateur, à la recherche de réponses *
- Tu crois vraiment qu'il faut chercher du côté de l'alphabet grec ?
* Mais, tandis qu'elle semblait réfléchir, Rebecca fut prise d'un mouvement de panique *
REBECCA : - On nous observe. Tu as vu les flashs ?
* Jill fronça les sourcils *
- Un flash ? Ici ?
* Elle pivota sur la droite pour voir si quelqu'un ne prennait pas une photo dans le bar *
* Mais aucun des clients ne semblait être muni d'un appareil photo *
- Non, je n'ai pas...
REBECCA : - On nous observe! Il y a quelqu'un dans le buisson là-bas!
* Rebecca se leva brusquement après avoir tout fermé, puis se dirigea à vive allure vers le buisson dehors *
* Jill la suivie *
- Eh, attend ! Je crois que tu exagères, je n'ai rien vu ! Tu es infirmières, tu sais mieux que moi ce que les états de choc sont capables de faire et ...
* Jill arriva devant le buisson où son amie pensait avoir vu quelqu'un *
* Dans un soupir, et avec un geste nonchalant, Jill écarta les branches du buisson et découvrit ceci *
* Jill fit la grimace *
* Effectivement, il y avait bien un flash, toutes les 10 secondes environs *
* Jill s'accroupie et trouva les fils du radar, à moitié arrachés et dénudés, sortir de la gaine protectrice *
* Ce radar avait été vandalisé, depuis tellement longtemps que les feuilles avaient poussés devant et que personne ne s'en était inquiété *
* Il devait être hors service, cependant le flash continuait de se déclencher toutes les 10 secondes environs, comme un dernier souffle de vie *
* Jill soupira *
- Tu es contente ? Oh, il faut arrêter là. Tu vas finir par attirer l'attention sur nous. Déjà qu'avec la voiture, c'est pas très discret ...
* Elle se recula et retourna à l’intérieur du cyber café pour se rassoir à sa place *
- Personne ne peut savoir que l'on est ici, on est pas suivie, c'est impossible.
* Elle avait du mal à comprendre ce qui pouvait rendre son amie aussi parano *

HRP: EXCELLENT ! XD

Qu'est ce que ?!

* Les deux jeunes femmes sortaient du cyber, et la première visiblement en furie... *
*John repéré ? Impossible, il avais pris un maximum de précautions... Comment l'avaient elles repérés ?! *
* Alors qu'il cherchais une échappatoire, une excuse, quelque chose, il assista a une scène surréaliste *
* La plus grande des deux écarta des buissons qui se trouvaient à 3 mètres de sa position et une forme grise douteuse se laissait entre-voir, objet qui déclenchais un flash à intervalles régulières *

C'est une blaque ? J'ai faillis me faire avoir par un ONI ( Objet non identifié ) à la c** ?!

* Il relâcha un peu la pression qui venais de monter et les observais délicatement, sans trop bouger *
* Il tenta de prendre une photo, mais la distance étais trop restreinte pour l'objectif qui étais beaucoup trop fort, de plus, le bruit de l'obturateur l'aurais trahis. John abandonna donc cette idée vaseuse *
* Un nouveau problème se poser a lui, maintenant qu'elles étaient la, il risquais a tout moment de se faire définitivement, et réellement repérer... *
* Le temps semblais interminable, l'objet attirais toute leur attention... Il devais vraiment être spécial... *

Alors... Sois je me découvre et je risque de prendre cher... Soit je tente de rester la et je risque de prendre encore plus cher si jamais je me fais découvrir...

* Pendant que le flot de pensée découlais comme une rivière en crue dans son esprit, un 4 x 4 noir et toutes vitres teintées s'arrêta en double file a proximité de l'épave des jeune fille *
* John oublia d'ailleurs leurs présence et commença a prendre des photos en boucle *
* Complètement absorbé par les hommes qui descendaient du véhicule pour entrer dans le cyber, John n'entendis pas les craquements derrière lui et se fis tirer la jambe par un petit chien *
* Il se releva en hurlant de surprise et oublia le chien, son regard étant capté par les deux femmes qui le regardais genre " mais t'es qui/quoi toi ? "... Il avais son sac pleins d'appareil photo dont un avec un objectif 100-300 mm assez imposant dans la main *
* Le chien qui avais pris peur grâce au hurlement de John ( XD ) lui aboyais après quelques mètres plus loin, rien de mieux pour attirer l'attention *
* Il mis en avant ses mains, comme pour se protéger des femmes qui se rapprochaient ( HRP: j'imagine hein xD, si non j'édite O.O ) et balbutia *

- Je vous jure, ce n'est pas ce que vous cr...

* John avais été coupé par les hommes qui, après avoir regardé les filles et John lui même, repartaient a bord du même véhicule *

* Jill découvrit le pot aux roses qui n'était en fait qu'un vulgaire radar automatique *
* Alors qu'elle aurait dû s'indigner, Rebecca se sentie au contraire soulagée. Une partie de la tension qu'elle accumulait depuis un moment se relâcha, la pression retomba quelque peu alors que ses épaules s'affaissèrent. Au moins, pas de tueur caché dans les buissons, c'était déjà ça. *

JILL : - Tu es contente ? Oh, il faut arrêter là. Tu vas finir par attirer l'attention sur nous. Déjà qu'avec la voiture, c'est pas très discret ... Personne ne peut savoir que l'on est ici, on est pas suivie, c'est impossible.

* Légèrement agacée par cette remarque, la jeune STARS répliqua en croisant les bras *

- Je te signale que je n'imaginais pas non plus être suivie au supermarché et pourtant ce fut le cas !

* La dispute s'interrompit là brusquement car il y avait de l'agitation dans le fourré un peu plus loin. Un chien aboyait assez fort pour attirer leurs attention. Cela ne les aurait pas interpellé si le buisson n'avait pas hurlé tout d'un coup *
* Rebecca fronça les sourcils et se précipita en direction du bruit. Elle poussa les buissons d'une main ferme, révélant un individu muni d'un appareil photo. *
* Rebecca ne put s'empêcher d'afficher un air triomphant *

- Tien! Qu'est-ce que je te disais!

* l'homme parut confus et commença à s'excuser *

HOMME : - Je vous jure, ce n'est pas ce que vous cr...

* Il s'interrompit pour regarder quelque chose derrière elle. Rebecca jeta un rapide coup d'oeil et vit un engin noir repartir. Etait-ce ce qui l'intéressait ? Elle décida de ne pas être trop brusque dans un premier temps et se contenta de le tirer sur le trottoir. *
* Son regard courroucé témoignait de sa colère. Elle croisa les bras et demanda fermement *

- Comment vous appelez-vous et qu'étiez-vous en train de faire ?

* Elle n'en revenait pas. Décidément, ce n'était pas son jour *
J'aurai mieux fait de rester couchée...

- Comment vous appelez-vous et qu'étiez-vous en train de faire ?

* Les mots. Ces assemblages de lettres que John comprenais individuellement, mais a cet instant précis... *
* Il ne voyais pas de quoi elle parlais. *
* Bien sur, chercher une réponse dans la seconde est pour le peu hasardeux. Heureusement, un véhicule louche venais de partir. En profiter ? *
* Non. Impossible, ce serais douteux, les preuves l'accablent *
* Inconsciemment, il commença a baisser la tête, évitant les regard de ses accusatrices *

Si jamais on me demande de vérifier la carte mémoire je suis foutu !

* John se ressaisis alors et souria sincèrement *
* Il se pencha et rangea l'appareil photo après l'avoir éteint, dans le sac prévu a cet effet *
* Il enchaîna aisément et avec grâce, avec un glissé de main dans sa poche pour en ressortir son porte feuille, du quel il en sortis a son tour une carte de visite, particulièrement bien travaillée et plastifiée, du Daily Raccoon *
* Sur cette carte on pouvais seulement voir la photo de John, mais aucune information, si ce n'est qu'il est accrédité un peu partout, bâtiments en constructions, casernes... Un vrai passe partout *
* Il la montra juste assez longtemps pour qu'on puisse voir le logo du Journal et sa photo, John n'attendis pas plus pour ranger le tout dans sa poche *

- James Albion. Journaliste photographique.

* Avec un peu de jugeote on verrais que la carte n'est pas complète, il manque a la fois le nom du journaliste et la mention : " permanent " sur la carte, c'étais donc une carte provisoire. *
* A partir de maintenant c'étais une chance sur deux, il se devais d’enchaîner pour faire oublier la carte, forcer les filles a penser a autre chose *
* Il hocha la tête dans la direction vers laquelle est partie le véhicule suspect; toujours en évitant les regards.. Et en coupant les paroles *

- Actuellement j’enquête sur Umbrella. De ce que j'en sais il y a eut des agissements douteux ces derniers mois et surement détournement de fond. Mais bon, ce ne sont pas vos affaires !

Enqueter sur Umbrella, oui... Mais des " agissements douteux " ? Des " détournements de fonds " ? T'as pas trouvé mieux ? BRAVO John...

* Il pris son sac il le plaça sur ses épaules, le plus naturellement du monde *
* Maintenant la seule chose qui le retenais c'étais: les deux filles ( dont une particulièrement furax ), une haie qu'il serais difficile de sauter sans élan et une route qu'il serais démesurément dangereux de traverser sans regarder... *
* En d'autre mot, il étais coincé, pour le moment... Il se préparais le plus discrètement du monde, mais avec un peu de mal tout de même a bondir comme un lapin pour courir comme jamais il n'avais couru. *

* Rebecca finit par découvrir un homme avec un appareil photo caché derrière les buissons *
* Celle-ci était vraiment très remontée, et il y avait de quoi *
* A première vue, celà ressemblait une fois de plus à de l'espionnage *
* Pense *
Ils sont vraiment très fort ... ils ont des hommes partout ? J'ai l'impression que nous ne seront jamais tranquille nul part.
* Jill soupira, puis reporta son attention sur l'homme *
* Celui-ci tenta de se justifier, mais ne s'attarda guère sur les clichés qu'il venait de prendre *
* Puis il brandit une carte de journaliste qu'il s'empressa de ranger *

HOMME : - James Albion. Journaliste photographique.
- Journaliste photographique ?

* Jill fronça les sourcils *
* Par les temps qui courraient, mieux valait être prudent, et ce journaliste à la dégaine un peu bizarre ne lui inspirait guère confiance *
* Sans rien lui demander, le fameux James tenta de se justifier *

JAMES : - Actuellement j’enquête sur Umbrella. De ce que j'en sais il y a eut des agissements douteux ces derniers mois et surement détournement de fond. Mais bon, ce ne sont pas vos affaires !

* Jill sentie la colère monter *
* Comment osait-il leur dire que ce n'était pas leur affaire, alors qu'il était en face de l'endroit où elles se trouvaient avec un appareil photo ? *
* L'homme remis son sac sur ses épaules, comme s'il s’apprêtait à partir *

- Attendez, ça devient nos affaires à partir du moment où on est impliqué. Et j'ai bien l'impression qu'on l'est! Qu'est-ce que vous faisiez ici, caché dans un buisson, de l'autre coté d'un cyber café ? Vous nous prenez pour des imbéciles peut-être ?

* Jill tendis sa main *

- Montrez moi vos photos. Il se peut que ça nous intéresse.

* Se doutant que l'homme ne répondrait pas aux ordres aussi facilement, Jill plongeât la main dans la poche intérieur de son manteau, et en sortie sa carte de S.T.A.R.S. *

- Agent Valentine, des S.T.A.R.S. de Raccoon City. J'exige de voir le contenu de votre appareil.

* Personne, dans cette ville, n'étais censé ignorer l'action des S.T.A.R.S. contre la grande entreprise pharmaceutique Umbrella. *
* Si ce petit journaliste, inconnu jusqu'ici, enquêtait bien sur Umbrella, il serait certainement heureux de pouvoir coopérer avec des alliés *
* En revanche, si celui-ci faisait parti du camp adverse, la situation risquait d'être délicate *


hj : Voilà, j'ai fais ce qu'il me semblait être le plus logique, j'espère n'avoir bloqué personne dans son jeu ! lol
Reb, je t'accorde le droit de regarder les photos de l'appareil de John/James !

* Des STARS *
* Ces filles sont du STARS ! L'unité spéciale de Raccoon ! *
* Il fallait trouver un truc a faire, après tout, c'est de sa faute a lui, il en a fais qu'a sa tête... *
* Maintenant John étais dans la mer** ... Une bien jolie en plus. *
* Soupir nerveux, souffle court.. Les photos étaient d'une importance capitale, il regrettais d'avoir pris les photos des deux policières *
* Sans ces photos il serais en paix en fait. *
* La plus grande des deux commençais a s'approcher, les mains tendus vers le sac, l'autre semblais vouloir étriper John tout court *

Je ne peux pas prendre le risque... de tout perdre

* Une bonne dose d'adrénaline s'injectais dans ses veines *
* Courir, sauter, nager... Voler ! Peux importe le moyen John devais partir, loin, se calmer sur son enquête et revenir s'excuser. *
* Mais avant il devais effacer les preuves. Enfin... Celles qui le mette dans la mouise actuellement. *

- Hé bien...


* Les mots avaient du mal a venir en présence de la plaque, cela changeais absolument tout *
* N'écoutant que son coeur les jambes de John se mirent a faire un saut de coté instantané avant d’engager une course folle en hurlant : *

-J'ai un bus a prendre !

* Les filles tentaient de le suivre.. Enfin il le croyais.. Il espérais le contraire en fait *
* Sous un effort violent et rapide des larmes commençaient a monter.. Surement le stress qui s'évacue comme il peux aussi *
* Au bout de plusieurs foulée il se retourna et vis les filles toujours sur ses talons, ce qui le fis doubler d'effort *
* Lorsqu'il se remis dans le sens de la fuite, John se rendis compte d'un léger problème. *
* D'environ 13 tonnes. *
* Et pas assez de distance pour ralentir. En fait il étais déjà trop tard ... *
* Un énorme bruit sourd retentis dans la rue suivis des couinements de John.. *
* S'il ne s'étais pas cassé le nez au choc, il ne devais pas en être loin... *
* Gisant au sol, son sac à quelques centimètres de sa main gauche, la droite servant a tenir les restes de son visage *
* Le chauffeur de bus descendis au même moment, alerte, se demandant ce qu'il avais percuté... Ne se doutant pas une seule seconde que c'est lui qui avais été percuté ! *

* S'ensuivit une discussion entre Jill et l'homme, durant laquelle celui-ci brandit une carte de presse. *
Un peu facile le coup de la carte à l'heure du numérique. Je ne serai sûre que quand j'aurais appelé le journal...
* Soudain, alors que Rebecca était en train de chercher ce qu'il convenait de faire, l'homme se mit à courir, pour fuir *
Quel lâche !
* Ni une ni deux, les deux stars se lancèrent à sa poursuite *
* Mais l'homme courrait plutôt vite, et même si Jill et Rebecca étaient entraînées, il possédait toujours quelques secondes d'avance. Cela pouvait se révéler crucial. *
* Alors qu'elle allait entamer un sprint, Rebecca vit un bus s'engouffrer dans leur rue. Visiblement le chauffeur ne les avait pas vu dans ses rétros car le camion commença à traverser la rue en X afin de rejoindre le carrefour d'en face. *
* Le journaliste n'eut pas le temps de s'arrêter. Ce fut le choc. Un gros "Bam" qui s'entendit certainement dans les commerces alentours. *
* Le Bus alla se garer un peu plus loin afin de voir ce qu'il venait de se passer. *
* A bout de souffle, Rebecca arriva près de l'homme allongé par terre, le visage strié de rais rouges. *
* Ses arcades sourcilières s'étaient fendues sous le choc, et son nez bleu avait déjà commencé à enfler *
* L'homme n'irait pas plus loin, c'était certain. La jeune stars prit le temps de retrouver son souffle et s'avança vers le sac qui gisait à quelques mètres du journaliste. *
* Elle le prit, fouilla dedans pour en sortir l'appareil photo. *
* En temps normal, elle aurait d'abord prit le temps de s'inquiéter du blessé, mais aujourd'hui, ce n'était pas un temps normal. La colère avait fait changer ses priorités *

- Vos photos nous intéressent plus que vous.

* Elle laissa retomber négligemment le sac et appuya sur un bouton afin de mettre l'appareil en route. Heureusement, il n'avait rien. *
* Elle fit défiler les différents clichés. Elle vit en premier des images d'intérieur où elle reconnu le JS. La photo montrait une table en premier plan, avec une tentative de prise de vue du ciel sombre. Toutefois, il y avait un homme flou sur la photo, ce qui du coup lui faisait perdre tout intérêt. Puis il y avait un véhicule sombre, des hommes, et puis elle et Jill dans le cyber café. Un zoom lui apprit qu'on ne voyait pas ce qu'il y avait sur l'écran, c'était déjà ça. *
* Rebecca appuya sur le bouton représentant une poubelle, et effaça les photos où se trouvaient les deux stars. Par principe, elle ne jetterai pas l'ensemble du contenu. *
* Elle reporta ensuite son attention sur l'homme et sa collègue. *

- Bon voilà. J'ai effacé ce qui nous concerne.

* Elle tendit l'appareil photo à Jill pour qu'elle le garde en sécurité, et s'agenouilla pour aider l'homme à se relever. Les trois protagonistes allèrent ensuite s'asseoir sur les marches d'une maison afin de ne pas gêner la circulation. *
* Le chauffeur du bus vint à leur rencontre. Vu son air perturbé, le choc l'avait secoué *

CHAUFFEUR : - Ca va m'sieur ? Rien de cassé ? Vous voulez que j'appelle les secours ?

* Rebecca regarda le journaliste. Les blessures étaient plus impressionnantes que graves. Son nez devait être légèrement fracturé mais il s'en remettrait. Elle pourrait au pire le soigner chez elle. *
* Sans attendre qu'il réponde, elle répondit *

- Non ca ira. Il s'en remettra. Je suis infirmière et ferais le nécessaire.

* Elle se tourna ensuite vers John *

- Quand à vous je crois que vous avez de sérieuses explications à donner.

* Le chauffeur de bus, soulagé de voir qu'il n'y aurait pas à appeler les secours, partir dans des formalités administratives et surtout à retarder les voyageurs, fit demi-tour et retourna à ses affaires. Le bus redémarra quelques secondes plus tard. *
* Autour d'eux, quelques passants c'étaient arrêtés mais avaient repris leur route une fois le journaliste remi sur pied. *
* Rebecca croisa les bras et prit un ton qu'elle voulait menaçant *

- Bon. Si vous commenciez par nous dire ce que vous savez d'Umbrella ?

Je me méfie, on ne peut pas faire confiance à un journaliste fouineur. Que sait-il de la firme ? A-t-il un lien avec le message que j'ai reçu et l'attentat ?
* Il allait falloir attendre avant de tirer des conclusions. *

* Alors que John se redressais difficilement des formes floues arrivaient devant lui et la plus petite ramassa le sac interdit *
* Mais pour le moment c'était le cadet de ses soucis, son œil gauche ne s'ouvrait plus et son nez faisais un mal atroce *
* Pendant que les formes floues s'attardaient sur son sac, l'une d'elle parla "

Peluche : - " Les gros le sont plus que nous "

Hein ? ... Sois j'ai changé de pays sois je suis totalement dans les vapes...

Peluche : - " Bois ca. J'ai laissé les cernes "

Okay. Je suis mort en fait.

* S'en suivis une conversation avec ce que John identifiais comme un ours *
* John tenta de reprendre sa fuite mais pris peur quand le bus repris son trajet et retourna auprès des filles *
* Son œil gauche étais toujours aux abonné absent mais la vision floue s'évaporait, de même pour l'état gazeux, son esprit étais de nouveau opérationnel *

STARS 1- Quand à vous je crois que vous avez de sérieuses explications à donner.

* John se tourna vers la jeune fille et l'observa un instant *
* Il se doutais que les photos on étés vues, son sac étant au pied de la STARS *
* L'homme soupira et épongea un peu le sang sur son visage *
* Cette douleur acide étais toujours présente, et l'expérience étrange qu'il venais de vivre lui coupais toute envie de retenter l'absurde *
* Combien d'années déjà pour espionnage ? Ou peine de mort carrément ? *
* Alors qu'il allais ouvrir la bouche, la policière repris la parole, sèchement... *

Finis la rigolade hein ?

STARS 1: - Bon. Si vous commenciez par nous dire ce que vous savez d'Umbrella ?

* John la regardais, interrogatif *
* Il y a quelque chose a savoir sur Umbrella ? A part qu'elle est omniprésente ici ? *
* Il sentais un piège sous la question, et du coup prenais son temps pour répondre *
* Mais l'air menaçant de la loi étais un peu trop présent a son goût, elles vont le tuer si il ne répondais pas, il en était convaincu *

- Outre le fait qu'Umbrella est un nom absurde pour une entité pharmaceutique, ce que j'en sais.. C'est que c'est, justement, une entité pharmaceutique.

* Il soupira bruyamment *
* Il s'était vraiment embarqué dans une salle histoire avec sa connerie *
* Si ça se trouve sa mère a simplement décidé de couper les ponts... Mais elles n'avaient vraiment pas a savoir cette partie de l'histoire. *
* Il se pencha pour fermer son sac, le tachant de sang au passage *
* Mais ça n'avais aucune importance, ce qui comptais c'était de savoir pourquoi deux STARS avaient poursuivis avec autant d'insistance un jeune photographe *

- J'enquête vraiment sur eux. Ils sont un peu trop omniprésent a mon goût, s'en est louche. Mais a mon tour de poser les questions.

Bravo Johnny, ca y est tu saignes, t'es un HOMME ! Waaaaw... Attend, mais tu parles comme ça a deux personnes probablement sur entraînées et a priori armées ? ... Je dois être encore sous le choc...

* Il fis pression sur ses arcades sourcilières et soupira *
* John avais commencé une phrase, fallait la terminer maintenant... *
* Prenant son courage à 5 mains *

- Pourquoi deux agent du STARS m'ont poursuivis pour quelques clichés perdus parmis tant d'autre ? Je veux bien que ce sois assez impoli, vois carrément interdit... Mais une simple plainte aurais suffis non ?

* Il relâcha la pression, ce qui le fis grimacer de douleur *
* Il s'était vraiment bien splashé contre le bus.. *
* John avais un peu de mal a garder son équilibre et s'adossa au premier mur a proximité *
* Après avoir fermé son œil valide il se massa les tempes *

* L'homme se pris un bus en pleine face *
* Jill s'arrêta de courir quelque seconde, puis repris sa course en direction de l'homme *
* Pense *
C'est pas vrai ... voilà ce qui arrive quand on cherche à faire le malin!
* Elle leva légèrement la tête vers le ciel, et remercia intérieurement le grand manitou de leur avoir facilité la tâche *
* Arrivées auprès du blessé, Rebecca s'occupa de regarder les photos, puis les blessures *
* Elles étaient effectivement en photo dans l'appareil *
* Jill fulminait *
* Elles venaient certainement de coincer un collaborateur d'Umbrella, peut-être même le même que celui qui avait remis la lettre dans le magasin *
* Toutefois, collaborateur d'Umbrella ou pas, celui-ci était maintenant salement amoché *

HOMME : - Outre le fait qu'Umbrella est un nom absurde pour une entité pharmaceutique, ce que j'en sais.. C'est que c'est, justement, une entité pharmaceutique.

* Jill fit claquer sa langue dans sa bouche avant de soupirer *

- Ouais ouais, et moi ce que je sais, c'est que tu t'es fourré dans la m*rde. Alors t'as intérêt à arrêter tout de suite ton petit jeu de pseudo ignorant et nous dire vraiment ce que tu fais.
HOMME : - J'enquête vraiment sur eux. Ils sont un peu trop omniprésent a mon goût, s'en est louche. Mais a mon tour de poser les questions.

* Jill esquissa un petit sourire sarcastique *
Il débarque de quelle planète celui-là ?
* Quoi qu'il en soit, son petit jeu n'allait certainement pas prendre sur elle *
* Depuis qu'elle exerçait ce métier, elle avait appris à repérer les menteurs, et surtout à ne jamais se laisser attendrir ou berner par des paroles et/ou des gestes, même si ceux-ci paraissaient sincères *
* De plus, ce petit journaliste photographe faisait preuve d'un cran et d'une audace assez rare *
* Pour sur, il n'était pas ce qu'il prétendait être *
* Et il se permettait d'essayer de prendre le dessus sur la situation en jouant son petit chef *

HOMME : - Pourquoi deux agent du STARS m'ont poursuivis pour quelques clichés perdus parmis tant d'autre ? Je veux bien que ce sois assez impoli, vois carrément interdit... Mais une simple plainte aurais suffis non ?

* Jill jeta un petit coup d'oeil à Rebecca, pour tenter de voir sa réaction *
* L'homme semblait souffrir de ses blessures, mais Jill ne s'en préoccupait pas *
* La médecine, c'était le domaine de Rebecca *

- C'est confidentiel. Et même si ça ne l'était pas, ce n'est certainement pas à un journaliste que nous l'aurions dit. Pour que ça se retrouve dès demain en première page du torchon local, non merci ! Vous nous prenez pour qui, des bleues ?

* Elle lui jeta un regard méprisant *

- Nous n'en sommes plus au stade de nous prendre un bus quand nous tentons de fuir, NOUS.

* Derrière eux, la circulation se densifia *
* De plus en plus de voitures s'agglutinaient et restaient à l'arrêt de longue minute au feu dans le carrefour *
* Soudain, le ronronnement d'une moto qui se rapprochait vite, très vite, trop vite, retentis dans le fond sonore ambiant *
* Une moto déboucha au coin d'une rue et s’engageât à vive allure dans le carrefour *
* Jill tourna la tête *
* Puis, tout se passa très vite *
* La moto arriva à hauteur des véhicules stationnés au feu *
* Le motard tourna la tête vers eux trois *
* Aucun d'entre eux ne pouvait distinguer le visage de la personne sous le casque de motard, ni même de savoir s'il s'agissait d'une femme ou d'un homme dans la combinaison de cuire *
* Jill n'eut que le temps de s'abaisser lorsqu'elle vit la main du ou de la motard(e) plonger dans son sac à dos et en sortir une arme automatique, du type mitrailleuse *
- ATTENTION !!!
* Les détonations s’enchaînaient à une vitesse folle dans leur direction *
* Pas de doute, ils étaient visés *
* Le motard se trouvait à une cinquantaine de mettre mais la vitesse de sa moto l'empêcha de viser correctement et Jill ne fut pas touchée * (hj : libre à vous de vous faire toucher ou pas , mais je ne pense pas que ça soit dans notre intérêt, surtout que John est déjà pas mal touché lol )
* Continuant sur sa trajectoire, le motard fila puis se perdit dans la circulation *
* En quelques secondes, tout était terminé *
* Jill, tremblante, ne se releva pas tout de suite *
* Dans sa tête, les idées se bousculaient, confuses *
* Sa première pensée était de se dire que le photographe avait été visé *
* En une fraction de seconde, l'idée que le photographe disait la vérité lui traversa l'esprit *
* Elle se demandait ce qu'en pensait Rebecca *
* Elle croisa le regard du journaliste *
* Ce qu'elle vit dans son regard ne laissait planer aucun doute *

hj : Voilà, j'ai intégré l'élément de la moto surtout pour que nos 3 personnages sortent du contexte de l'intérogatoire stérile pour enfin s'unir autour d'un but commun et peut-être enfin pouvoir débuter l'enquête de Reb. :p

* Tandis qu'ils discutaient pour tenter d'éclaircir les choses, une moto déboula dans la rue et les prit pour cible avec une mitrailleuse. Des éclats de mur volèrent dans tous les sens avec fracas. Rebecca n'eut que le temps de se mettre à terre en se protégeant le visage de ses bras. *
* Elle entendit Jill crier quelque chose et espéra qu'elle n'était pas blessée. *
* La jeune infirmière vit des poubelles et alla se réfugier derrière. C'en était trop, quelqu'un voulait sa mort. *
Bon, si je récapitule. Quelqu'un me donne des infos codés. Et d'un autre côté quelqu'un essaie de m'éliminer, surement pour que je ne trouve pas à quoi ces infos correspondent... et si le journaliste était lié ? Je pourrait me débarrasser de tout ça et faire comme si de rien n'était mais visiblement je suis repérée...
* Elle soupira. Autour d'elle, les cris des passants se turent, le bruit infernal aussi. Elle prit le risque de se redresser et vit le résultat. Jill n'était pas touchée (hj: John je ne sais pas à toi de voir). Quelques vitrines brisées déversaient leur verre coupant sur le trottoir, et des poubelles éventrées inondaient les allées de déchets. Il y avait aussi quelques voitures qui ne redémarreraient sans doute pas. *
* Rebecca ne se souvenait pas un jour avoir été aussi énervée. Sans qu'elle ne sache pourquoi, elle se retrouvait au cœur d'une affaire dont elle ignorait tout. Et ça, elle détestait au plus au point. *
Point numéro 1, se mettre à l'abri...
* Tandis que John et Jill reprenaient leurs esprits, elle sortit de sa cachette et s'avança vers eux d'un pas ferme *

- Bon. J'ai bien l'impression que quelqu'un cherche à me nuire. Je ne suis pas parano. Tout cela fait beaucoup trop de coïncidences.

* Elle jeta un regard noir au photographe avant de poursuivre *

- On va aller se mettre à l'abri quelque part, dans un bar par exemple. Et là on pourra discuter.

* Elle se tourna vers John et le regarda franchement *

- J'ai bien envie de vous montrer ce qui me tracasse. Après tout si vous enquêtez sur Umbrella vous saurez peut-être quelque chose ?

* Elle ne faisait pas du tout confiance à cet homme, mais puisqu'il était là autant qu'il se rende utile. Après tout, il était plus ou moins dans leur camp *
Et quelque chose me dit que la firme au parapluie rouge n'est pas étrangère à tout cela. Qui d'autre me connait assez pour n'embarquer dans une drôle d'histoire... je sais que comme les autres stars je suis fichée chez eux. Mais pourquoi moi ?
* Beaucoup de questions et peu de réponses. Pour l'instant, il fallait surtout se concentrer sur les intentions du photographe et voir en quoi il pourrait lui être utile. Ensuite, il faudrait se remettre sur le problème. Le peu qu'elle avait eu le temps de voir sur internet n'avait pas vraiment laissé de traces dans sa mémoire. Autant dire qu'elle partait presque de zéro *
KV... KV... ça me dit pourtant quelque chose. Mais je ne comprends pas, il me semble que cela a un lien avec de la musique. Mozart peut-être ? Ou Beethoven. Rah, ma culture est trop limitée.
* Ses tergiversations pouvaient attendre. *
* Jill et John l'attendaient pour décider de la suite. *

- Que diriez-vous du JS bar ?

* intérieurement, Rebecca tremblait. Elle n'avait qu'une envie, celle de quitter les lieux au plus vite et d'aller là où elle serait plus difficile à atteindre, c'est-à-dire au milieu de la foule. Et il y avait toujours beaucoup de monde au JS. *

(hj : John je peux écrire la suite au JS si tu veux, et si tu es d'accord pour qu'on y aille. Ou si tu veux faire différemment c'est toi qui vois )

* Le bruit de la moto qui arrivais emplissais l'atmosphère, mais John n'y prêtais aucune attention : Pour quoi faire ? *
* Il avais toujours les yeux fermés, a tête contre le mur *
* Il écoutais la STARS parler, elle se moquais un peu de sa rencontre avec le poids lourd ce qui fis sourire John *
* La moto approchais, et si en elle même étais courante, la personne qui la montais l'étais moins *
* Les détonations commencèrent sans que John ne réaliste que le meurtrier passais a coté d'eux, tout se passa extrêmement vite, pas le temps de réagir *
* Les balles craquaient a coté de ses oreilles et sentis des éclats de murs lui sauter au visage *
* John n'avais toujours pas bougé, mais regardais la moto s'éloigner *
* Ses oreilles sifflaient *

On a essayé de me tuer... On a essayé de me tuer...

* Le photographe semblais fondre contre le mur, se laissant tomber peu a peu *
* Il se ressaisis juste a temps et s'éloigna du mur *
* Il avais un mal de crane énorme, et le bourdonnement dans ses oreilles ne cessais pas *
* En regardant le mur et plus précisément les impacts de balle, on pouvais voir qu'a quelques centimètres prêt, John se prenais 3 balles dans une dans la tête *
* Le fait d'imaginer une telle tragédie mondiale le fis chavirer et s'écrasa lamentablement par terre, enfin *

On a vraiment essayé de me tuer... On a vraiment essayé de me tuer...

Rebecca ( marre de vous numéroter ): - Bon. J'ai bien l'impression que quelqu'un cherche à me nuire. Je ne suis pas parano. Tout cela fait beaucoup trop de coïncidences.

-Hey... On a vraiment essayé de me tuer hein ?

* Il ne regardais aucune des deux filles, il fixais le ciel, vide de toute idée, il avais faillis mourrir, pour la première fois. *

Rebecca: - On va aller se mettre à l'abri quelque part, dans un bar par exemple. Et là on pourra discuter.

Discuter de quoi ? On a essayé de me tuer !

* Rebecca entra dans son champ de vision et semblais très tendue, il tourna la tête vers elle et la regarda, hagard *

Rebecca : - J'ai bien envie de vous montrer ce qui me tracasse. Après tout si vous enquêtez sur Umbrella vous saurez peut-être quelque chose ?

* John eut un sourire nerveux *
* Avec tout ça il venais de se rendre compte qu'il avais ouvert l'oeil gauche... Et ça faisais mal. Il porta une main a son oeil et se redressa *
* Une fois sur pied il contempla enfin les dégâts *
* Des impacts dans tout les sens.. Les gens effrayés, et heureusement aucun blessés *
* John fus pris alors d'une espèce de folie, il écarta les bras et se mis a hurler *

- BANDES D'ABRUTIS ! VOUS NOUS AVEZ RATE !!! APPRENEZ A VISER BANDE ....

* L'attention de John fus vite détournée par son sac qui étais toujours par terre, mais avec deux impacts de balles entourés de poudre noire *
* Ses yeux s'écarquillèrent et il fonça vérifier le contenu et fis une moue mémorable *
* Il venais de perdre son téléobjectif... 7000$ en moins dans son sac *
* John soufflais bruyamment et essayais de contenir son émotion *
* Heureusement que seul 1 objectif ais encaissé les balles, John serais mort d'une crise cardiaque sinon *
* Après s’être calmé Rebecca repris la parole et proposa d'aller au Js Bar *
* John soupira et ramassa le reste de son sac et acquiesça d'un hochement de tête *

- J'ai eut une expérience étrange la bas récemment, mais pourquoi pas.

* Il avais la tête baissée, mais suivais, sans trop savoir pourquoi, les deux agents... Mais en broyant du noir *
* Il y a des choses, des faits, qui allient des personnalités qui n'étaient pas sensés se suivre, s'entendre *

HRP: J'ai pris un peu de liberté pendant la réflexion de Reb', j'avais besoin de la scène du sac perforé O.O